Pour faire la promotion de son livre Le Dictionnaire de ma vie, Gérard Darmon a accepté l'invitation du Grand Oral d'Alain Marschall et Olivier Truchot sur RMC le 19 février 2019. Au programme, une foule de sujets abordés allant de la montée de l'antisémitisme, des Gilets Jaunes et Franck Dubosc, ou encore de Gérard Depardieu à sa famille. En effet, l'acteur de 70 ans a été à ce titre interrogé sur le fait d'avoir des enfants d'âges très éloignés – sa dernière, Lena, a 18 mois : "Vous avez plusieurs enfants de plusieurs femmes, vous avez commencé tôt, vous finissez tard... Vous vous posez des questions sur le fait d'avoir des enfants tard ? Parfois on vous dit elle est 'bien votre petite fille'..."
Loin de se braquer, Gérard Darmon explique : "Oui, mais tout ça n'est pas grave par rapport au plaisir que j'ai, à l'énergie que ça me donne et surtout à sa vie à elle. Parce qu'il y aura un après, elle a une mère, des frères, des soeurs. Voilà c'est mon rôle de relais." Quant à ceux qui disent que c'est égoïste de faire un enfant tard : "Ils ne comprennent pas grand-chose à la vie. Franchement, je ne le fais pas pour moi cette enfant. Je l'ai faite, tout sauf pour moi. Pour sa mère et pour elle, pas pour moi. Ça ne veut rien dire."
En couple avec Christine depuis 2000, l'animateur (avec d'autres) de Burger Quiz est devenu papa en 2017 de la petite Lena, qui le rend complètement gaga. La fillette a rejoint une fratrie composée de Virginie Darmon (50 ans), née de sa relation avec Nicole Recoules, ainsi que Jules (21 ans) et Sarah (24 ans) – qu'il a récemment montrée en photo sur Instagram -, dont la maman est Mathilda May. Une belle famille qui fait la fierté de la star de La Cité de la peur : "Je n'ai pas la notion de chef de famille. J'ai quatre enfants, eu à quatre moments différents de ma vie. On n'est pas papa comme je l'ai été à 20 ans, comme on l'est à 50 ou à 69 ans. Oui c'est vrai que je prends un malin plaisir à prendre de la distance quand ils sont tous réunis, à les regarder tous vivre, sans qu'ils s'en rendent compte. Et je me dis que c'est bien : ils sont là, ont chacun leur vie, ils sont beaux, en bonne santé, intelligents... Voilà, j'aurai au moins fait ça."