Il y a des moments dans la vie où tout va de travers et c'est un peu la situation qu'est en train de vivre Hayet Abidal. La compagne de l'ancien défenseur de l'équipe de France de football, Éric Abidal, s'est retrouvée bien malgré elle, prise dans le tourbillon médiatique déclenché par l'agression de Kheira Hamraoui le 4 novembre 2021. Suite à l'enquête policière, son mari a été obligé d'avouer sa relation extraconjugale avec la joueuse du PSG, faisant imploser du même coup le couple qu'il formait depuis plus de 20 ans avec la mère de ses cinq enfants.
Hayet Abidal a rapidement demandé le divorce et elle vit aujourd'hui seule du côté de Barcelone avec ses cinq enfants. Active sur Instagram, elle vient d'ailleurs tout juste de partager une expérience particulièrement traumatisante qu'elle vient de vivre. "Mon coeur bat encore à toute vitesse après ce qu'il vient de m'arriver...", écrit-elle en préambule, avant de poursuivre : "Je gare tranquillement ma voiture quand je vois une dame en détresse tremblante appelant à l'aide".
Les passants passent sans même lui prêter attention
Une chose interpelle particulièrement Hayet Abidal, l'inaction des personnes autour d'elle. "Les passants passent sans même lui prêter attention, je sors de ma voiture laissant mon sac et ma voiture encore en marche, je la saisis avant qu'elle ne s'évanouisse...", poursuit-elle. Une décision salvatrice de la part de celle qui a la dent dure envers son futur ex mari puisque la situation s'est rapidement arrangée. "Elle se ressaisit et me dit qu'elle fait un malaise et qu'elle doit se rendre à quelques mètres et me supplie de l'accompagner (...) elle me remercie de mon humanité, elle s'inquiète même pour la voiture et mon sac... Je la quitte le coeur anéanti...", conclut-elle.
Si Hayet Abidal a voulu raconter l'histoire de cette dame, ce n'est pas pour se mettre en valeur, comme elle l'explique dans une seconde story. "Je ne raconte pas ça pour que l'on me lance des fleurs mais pour nous sensibiliser face à ce genre de situation", insiste-t-elle, avant de terminer par le hashtag "aidons nous les uns les autres".