

Inès de la Fressange soufflera le 11 août prochain sa 55e bougie. L'occasion pour l'icône de mode française de se confier dans les pages de Madame Figaro, qui lui offre sa couverture cette semaine. Entre secrets de beauté décalés et confidences surprenantes, Inès reste naturelle et sans tabous. Extraits.
Aujourd'hui encore très demandée dans le milieu de la mode, Inès l'avoue : elle ne voulait pas être mannequin. "Ce métier était à mes yeux synonyme de frivolité et de légèreté. J'aimais les vêtements et le maquillage, mais jamais, je n'aurais voulu admettre que j'étais frivole. Aujourd'hui, je l'assume", dit-elle.
Icône de mode, Parisienne par excellence, Inès semble rajeunir à mesure que les années défilent. Et elle ne manque pas de nous donner sa vision particulière de l'élégance... "Trop se soucier de son image momifie. La moindre des élégances est de ne jamais s'apitoyer sur son sort. Je suis comme une gamine qui s'entête à colorier en dépassant les contours", ajoute-t-elle.
Maman de deux filles, Nine et Violette, qu'elle a eues avec Luigi d'Urso, décédé en 2006 à 55 ans, Inès aborde brièvement le sujet de son enfance, ses parents et sa nounou Toya, qui était très "maternelle" avec elle.
"J'ai côtoyé mes parents, mais sans aigreur, je n'ai pas souvenir d'avoir pris un repas avec eux", dira-t-elle.
La formidable ambassadrice L'Oréal Paris s'expose à l'intérieur du magazine pour une superbe série estivale. Inès en maillot en mode vacances, c'est à retrouver dans Madame Figaro, en kiosques, avec l'intégralité de l'interview.