Première sortie depuis la naissance de son fils Tom pour la belle Ingrid Chauvin qui, accompagnée de son mari Thierry Peythieu, s'est rendue au vernissage de l'exposition de Richard Orlinski, ce jeudi 15 septembre, au Village Royal de Paris. L'artiste français le plus vendu au monde, qui expose jusqu'au 15 novembre sept de ses oeuvres dans le 8e arrondissement de la capitale, a reçu le soutien de tout le gratin parisien.
La comédienne et brillante participante de DALS saison 5, Tonya Kinzinger est venue découvrir les bêtes féroces sculptées par le quinquagénaire, de même que l'irrésistible Fabienne Carat, le comédien Philippe Bas ou encore l'animateur Bernard Montiel. Le talentueux écrivain et journaliste Patrick Poivre d'Arvor comptait aussi parmi les invités, de même que l'actrice Anne Parillaud, et Capucine Anav accompagnée de Louis Sarkozy. Liane Foly et Thomas Dutronc , l'actrice Vanessa Demouy et Brigitte Macron comptaient aussi parmi les invités éclectiques de l'artiste.
La soirée animée par le groupe LEJ mêlait art et musique. "Je n'hésite pas à faire des ponts entre les domaines", assure justement Richard Orlinski dans une récente interview pour le magazine Entre Luxe & Prestige. Artiste aux multiples talents, il s'est essayé avec succès à la musique, publiant l'entraînant Heartbeat avec la popstar néerlandaise Eva Simons, et sera l'an prochain à l'affiche du film Les Effarés, coproduit par Olivier Marchal, aux côtés de Béatrice Dalle et de Guillaume Gouix.
Une actualité chargée pour celui qui bouleverse les codes de l'art. N'hésitant pas à dénoncer le French Bashing, le self-made man veut "faire un art accessible" dans un pays qui "est le seul pays à dénigrer ses artistes et à soutenir les talents étrangers". Boudé par les Beaux-Arts, Richard se retrouve pourtant aujourd'hui "jury et sponsor de la très prestigieuse Saint Martin School de Londres" ! "J'ai dû me débrouiller seul. J'ai pris beaucoup de coups, je ne dis pas que je les ai rendus mais j'ai avancé", ajoute celui qui a essuyé de nombreuses critiques, notamment du fait de son cursus atypique.
Couronné de succès et comblé par sa vie de famille, Richard Orlinski garde les pieds sur terre. Son art lui permet notamment de venir en aide à de nombreuses oeuvres caritatives. Son Wild Kong, créé après les attentats du 13 novembre, sera bientôt revendu au profit des victimes, il en a aussi offert un grand à la rédaction de Charlie Hebdo. "On ne peut pas aider tout le monde, mais comme j'ai la tribune, j'en profite pour aider des causes qui me tiennent à coeur", a-t-il conclu.
Coline Chavaroche