
Figure emblématique du petit écran depuis déjà de nombreuses années, Camille Lou est un visage récurrent des fictions diffusées sur TF1. La comédienne a notamment été l'une des têtes d'affiche du Bazar de la Charité et des Combattantes sur la première chaîne. En parallèle, l'actrice tourne aussi régulièrement pour le cinéma. Elle a d'ailleurs décroché le premier rôle du film baptisé Natacha (presque) hôtesse de l'air. Il s'agit en fait de l'adaptation cinématographique de la bande dessinée du même nom. Alors que ce long-métrage est prévu pour sortir dans les salles obscures le mercredi 2 avril 2025, Camille Lou en a assuré la promotion samedi 29 mars 2025 dans l'émission 50' inside sur TF1.
Au cours de son interview avec la journaliste Isabelle Ithurburu, qui deviendra prochainement la nouvelle joker du JT de 13h de TF1, Camille Lou s'est notamment confiée sur une période difficile de son adolescence, durant laquelle elle était "complexée" par son corps. "Disons que j’étais un peu garçon manqué. Je ne me trouvais pas du tout jolie. Je me trouvais trop en chair parce qu’on me faisait clairement comprendre que j’étais trop en chair. Donc je me cachais dans des vêtements assez amples", a premièrement révélé celle qui a également exercé ses talents de chanteuse dans des comédies musicales comme 1789, les amants de la Bastille et La Légende du roi Arthur au début de sa carrière d'artiste.

"Ça n’a pas été super fun à l’école. Moi, je n'étais pas du tout la fille populaire, mais pas du tout. Je n’étais pas la fille dont tombait amoureux les garçons. Voilà, ce n’était pas la meilleure période de ma vie. Les filles de l’école me faisaient vivre un enfer", a ensuite ajouté Camille Lou à ce sujet. La comédienne a aussi profité de son passage dans 50' inside pour évoquer le message porté par son prochain film. "Dans la vie, on va essayer de vous faire entrer dans un moule qui ne vous correspond pas forcément. En vous disant que vous ne serez rien si vous ne correspondez pas au moule. (...) Il ne faut pas écouter ce que les gens disent autour de nous. Les cases, elles n’existent que dans leur tête et pas dans les nôtres. C’est des choses que j’aurais aimé entendre dans l’adolescence", a ainsi souligné Camille Lou.