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Jean Dujardin profite d'une interview dans Cinéday l'hebdo pour mettre les choses au clair. Ferme, il explique qu'Oscar ou pas, il ne veut pas jouer les stars américaines et se sent toujours aussi bien chez lui, en France. Défendant avec passion le polar La French dans lequel il retrouve son ami Gilles Lellouche, le célèbre Artist ne se fait pas le VRP de lui-même (parce que ça le "fait chier") et le clame : l'Oscar du meilleur acteur était un "merveilleux accident".
Il a pris la grosse tête, il vit aux États-Unis, il se la raconte avec George Clooney... Jean Dujardin n'a cessé d'entendre qu'il avait changé depuis qu'il a remporté à Hollywood le prix du meilleur acteur pour The Artist en 2012. Pourtant, l'acteur l'affirme et il aimerait qu'on l'écrive noir sur blanc : il ne rêve pas d'Amérique et se considère toujours comme un comédien français. "Les États-Unis, ce n'est pas là où je m'éclate le plus. J'ai plus de sensations en France." Il en a même parlé avec son idole, Jean-Paul Belmondo, pour qui la question de la carrière hollywoodienne s'était également posée et explique pourquoi lui aussi avait refusé : "On a un cinéma qui a de la gueule !"
En toute modestie, Jean Dujardin se réjouit de son expérience avec Leonardo DiCaprio dans Le Loup de Wall Street (bien qu'il se soit trouvé falcutatif dans le film de Scorsese) ou de sa collaboration avec George Clooney pour Nespresso mais "il faut rester à sa place". Il ajoute : "L'Oscar, je ne l'aurais pas eu, ça n'aurait pas changé ma vie. Je ne sais plus comment le dire..." Toujours plus franc, il déclare : "Tout le monde a vu mon niveau d'anglais... La greffe ne prend pas." Une carrière à la Marion Cotillard ou à la Omar Sy ? Il ne les juge pas mais ne se voit pas à leur place.
On le verra chez Claude Lelouch en voyage en Inde avec Elsa Zylberstein, il devrait jouer dans Frontal et il réfléchit sérieusement au retour de Brice de Nice, personnage culte de ses sketchs qui a eu le droit à son long métrage en 2004 (avec plus de 4 millions d'entrée) : "Brice va revenir, mais pour les bonnes raisons."
Le Français de 42 ans, ex d'Alexandra Lamy et compagnon de la patineuse Nathalie Péchalat, n'est pas parti faire sa vie en Amérique, mais il a toutefois pris du recul. "L'année dernière, je me suis un peu écarté, pour penser à ma vie, me détendre", avec ses proches comme ses frères, son socle, expliquait-il dans Version Femina.
Il a pris la grosse tête, il vit aux États-Unis, il se la raconte avec George Clooney... Jean Dujardin n'a cessé d'entendre qu'il avait changé depuis qu'il a remporté à Hollywood le prix du meilleur acteur pour The Artist en 2012. Pourtant, l'acteur l'affirme et il aimerait qu'on l'écrive noir sur blanc : il ne rêve pas d'Amérique et se considère toujours comme un comédien français. "Les États-Unis, ce n'est pas là où je m'éclate le plus. J'ai plus de sensations en France." Il en a même parlé avec son idole, Jean-Paul Belmondo, pour qui la question de la carrière hollywoodienne s'était également posée et explique pourquoi lui aussi avait refusé : "On a un cinéma qui a de la gueule !"
En toute modestie, Jean Dujardin se réjouit de son expérience avec Leonardo DiCaprio dans Le Loup de Wall Street (bien qu'il se soit trouvé falcutatif dans le film de Scorsese) ou de sa collaboration avec George Clooney pour Nespresso mais "il faut rester à sa place". Il ajoute : "L'Oscar, je ne l'aurais pas eu, ça n'aurait pas changé ma vie. Je ne sais plus comment le dire..." Toujours plus franc, il déclare : "Tout le monde a vu mon niveau d'anglais... La greffe ne prend pas." Une carrière à la Marion Cotillard ou à la Omar Sy ? Il ne les juge pas mais ne se voit pas à leur place.
On le verra chez Claude Lelouch en voyage en Inde avec Elsa Zylberstein, il devrait jouer dans Frontal et il réfléchit sérieusement au retour de Brice de Nice, personnage culte de ses sketchs qui a eu le droit à son long métrage en 2004 (avec plus de 4 millions d'entrée) : "Brice va revenir, mais pour les bonnes raisons."
Le Français de 42 ans, ex d'Alexandra Lamy et compagnon de la patineuse Nathalie Péchalat, n'est pas parti faire sa vie en Amérique, mais il a toutefois pris du recul. "L'année dernière, je me suis un peu écarté, pour penser à ma vie, me détendre", avec ses proches comme ses frères, son socle, expliquait-il dans Version Femina.