Jeane Manson publie Une Américaine à Paris, en octobre 2011 aux Editions du Rocher.
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Ne rien occulter, tout révéler... Tel fut le mot d'ordre pour Jeane Manson lors de l'écriture de son autobiographie, Une Américaine à Paris (Editions du Rocher), en librairies à partir du jeudi 13 octobre.
Interviewée par Ici Paris, elle évoque les bons et les mauvais moments qui ont marqué sa vie et forgé son expérience. Parmi les épreuves qu'elle a traversées, l'avortement de son premier enfant. A l'époque, elle n'était qu'une adolescente.
"J'avais 17 ans et, à cette époque, l'avortement était illégal. Aujourd'hui, la spiritualité est mon moteur et j'ai le respect de la vie. Je ne le referais peut-être pas. Mais je comprends les filles qui se retrouvent enceintes très jeunes et qui décident d'avorter parce qu'elles ne peuvent pas assumer la maternité. On ne doit pas les condamner", déclare l'interprète d'Avant de nous dire adieu, dans les colonnes de l'édition d'Ici Paris en vente ce mercredi 12 octobre.
Après avoir évoqué ses nombreux contrôles fiscaux, Jeane Manson, aperçue dans La Ferme Célébrités en Afrique l'an dernier, raconte comment, suite au passage des huissiers à son domicile en début d'année, elle a tout perdu : "Les huissiers ont débarqué chez moi, en Normandie. Ils sont venus à cinq comme des corbeaux pour saisir mes meubles. En les voyant, j'ai eu la trouille de ma vie. J'ai été obligée de payer 150 000 euros pour être tranquille, mais j'ai dû mettre ma maison en vente. Le fisc m'a tout pris ! Tout le fruit de mon travail. Je vais devoir chanter jusqu'à mon dernier souffle pour payer mes impôts."
La chanteuse enchaîne aujourd'hui les redressements fiscaux. Un système qui l'étouffe et qu'elle dénonce : "C'est cette inquisition fiscale (que je ne supporte plus). Je ne veux plus être traitée comme une voleuse. C'est une honte de piquer du fric à une artiste honnête."
Retrouvez l'interview de Jeane Manson en intégralité dans le magazine Ici Paris actuellement en kiosques.
Joachim Ohnona
Interviewée par Ici Paris, elle évoque les bons et les mauvais moments qui ont marqué sa vie et forgé son expérience. Parmi les épreuves qu'elle a traversées, l'avortement de son premier enfant. A l'époque, elle n'était qu'une adolescente.
"J'avais 17 ans et, à cette époque, l'avortement était illégal. Aujourd'hui, la spiritualité est mon moteur et j'ai le respect de la vie. Je ne le referais peut-être pas. Mais je comprends les filles qui se retrouvent enceintes très jeunes et qui décident d'avorter parce qu'elles ne peuvent pas assumer la maternité. On ne doit pas les condamner", déclare l'interprète d'Avant de nous dire adieu, dans les colonnes de l'édition d'Ici Paris en vente ce mercredi 12 octobre.
Après avoir évoqué ses nombreux contrôles fiscaux, Jeane Manson, aperçue dans La Ferme Célébrités en Afrique l'an dernier, raconte comment, suite au passage des huissiers à son domicile en début d'année, elle a tout perdu : "Les huissiers ont débarqué chez moi, en Normandie. Ils sont venus à cinq comme des corbeaux pour saisir mes meubles. En les voyant, j'ai eu la trouille de ma vie. J'ai été obligée de payer 150 000 euros pour être tranquille, mais j'ai dû mettre ma maison en vente. Le fisc m'a tout pris ! Tout le fruit de mon travail. Je vais devoir chanter jusqu'à mon dernier souffle pour payer mes impôts."
La chanteuse enchaîne aujourd'hui les redressements fiscaux. Un système qui l'étouffe et qu'elle dénonce : "C'est cette inquisition fiscale (que je ne supporte plus). Je ne veux plus être traitée comme une voleuse. C'est une honte de piquer du fric à une artiste honnête."
Retrouvez l'interview de Jeane Manson en intégralité dans le magazine Ici Paris actuellement en kiosques.
Joachim Ohnona