Après quatre premières sessions d'auditions à l'aveugle, les équipes de nos quatre coachs, Jenifer, Louis Bertignac, Florent Pagny et Garou, se garnissent peu à peu dans The Voice 2 ! Et il semblerait qu'une équipe sorte du lot : celle de la pétillante Jenifer ! Avec Olympe, Anthony, Laura, Dièse ou encore Sophie Tapie, Jenifer peut se vanter d'avoir une team qui vaut de l'or.
C'est forte de son statut de coach la plus prisée de cette deuxième édition du programme que la belle brunette s'est confiée à nos confrères de Questions de femmes. L'occasion pour Jenifer de revenir sur les critiques affrontées l'an dernier : "J'ai toujours assumé mes choix à 100%. Je suis droite dans mes bottes : je sais ne m'être jamais trahie, comme je n'ai jamais trahi ceux qui ont cru en moi. Alors oui, bien sûr, la critique est douloureuse quand elle est méchante et gratuite mais je relativise." Avant de remettre les choses en perspective : "Il y a des choses tellement plus graves ! Je suis marraine d'une association, Le Refuge. Je préfère m'attarder là-dessus que sur ces choses qui finalement n'ont pas beaucoup d'importance."
Jonglant entre The Voice, la promotion de son dernier album et sa future tournée, Jenifer est une artiste très occupée ! Mais la chanteuse n'a qu'une priorité : l'éducation de son fils Aaron. Elle confie à son sujet : "C'est de l'organisation ! Parfois, je fais en fonction des horaires de l'école. Et parfois, je ne suis pas là quand il rentre le soir, mais c'est plutôt rare. Je m'organise très bien avec son papa (Maxim Nucci) avec qui je communique beaucoup."
Fière de son parcours, la chanteuse du tube Je danse revient sur ses premiers pas dans le monde de la télévision et de la chanson. Elle indique : "La Star Ac m'a mis un sacré pied à l'étrier. Ensuite, j'ai beaucoup travaillé. (...) Je souffrais d'un vrai manque de confiance. A 16 ans, je suis montée à Paris pour chanter, mais j'avais été traumatisée par ma participation à Graines de star, sur M6. Je voulais chanter, mais surtout pas être connue ! J'espérais pouvoir en vivre, mais je me contentais des bars ou des restaurants."
Aujourd'hui, Jenifer voit ce manque de confiance et ses remises en question comme une chance. "Je ne cherche surtout pas à m'en débarrasser. A une période, j'ai voulu essayer d'effacer mes doutes. C'était une erreur : ils me servent énormément au quotidien", explique-t-elle.