L'annonce avait fait grand bruit. En juin 2017, les Fréro Delavega se séparaient, au grand dam de leurs milliers de fans. De cette époque restent seulement leurs tubes, comme Ton visage, Le Coeur éléphant ou encore Sweet Darling. Le duo révélé par la saison 3 de The Voice (TF1) avait préféré se séparer, notamment pour que Jérémy Frérot puisse commencer sa carrière solo. En 2018, les fans ont ainsi pu découvrir le premier album solo du chanteur de 29 ans, intitulé Matriochka.
Invité de l'émission Laissez-vous tenter, sur les ondes de RTL, Jérémy Frérot s'est livré sur cette séparation. Interviewé par le journaliste Steven Bellery à l'occasion du début de sa tournée, le compagnon de Laure Manaudou explique qu'il est plutôt soulagé de se retrouver seul sur scène. "Ça été plutôt une libération de chanter seul. C'est dur de chanter à deux. Il faut garder un cap, il faut garder une ligne vocale", confie le chanteur.
Une liberté qu'il adore exploiter lorsqu'il se retrouve seul en concert. "Tout seul, on peut interpréter les choses différemment, donc les théâtraliser et c'est ce que j'aime faire. C'est assez plaisant finalement de chanter tout seul. C'est complètement plus poétique. Un concert, c'est un voyage", poursuit Jérémy Frérot, qui peut toujours compter sur les bons conseils de sa compagne, Laure Manaudou. L'ancienne sportive le suit également sur sa tournée, Matriachka Tour.
"En fait, on devient patron. Je gère d'autres choses et tout seul, c'est deux fois plus de travail", confie le papa de Lou (2 ans et demi). "Dans les concerts, c'est deux fois plus d'énergie aussi, beaucoup plus d'émotion. C'est beaucoup plus puissant finalement", conclut-il.
Si Jérémy Frérot se sent finalement mieux maintenant qu'il est séparé de son acolyte, qu'en est-il de Flo Delavega ? L'ancien artiste aurait acheté une maison dans la forêt, dans les Landes, et essayerait de "faire quelque chose d'un peu autonome", confiait Jérémy Frérot en janvier 2019 à Vivement dimanche. Rappelons que la décision de se séparer venait de Flo Delavega. "C'est plutôt lui qui a décidé pour moi. Il en avait marre de bouger, d'être sous le feu des projecteurs. Il a eu besoin d'arrêter, ça lui a fait beaucoup de bien", avait-il appris.