![Purepeople](https://static1.purepeople.com/build/pp_fr/logo_brand_ads.0d8e500d.png)
Ce lundi 20 février, les Marseillais ont débarqué à Paris pour une projection en avant-premières des nouveaux épisodes des Marseillais : South America. L'occasion pour Jessica Thivenin, interviewée par le journaliste Sam Zirha, de régler ses comptes avec ceux qui la critiquent sur les réseaux sociaux.
Ces derniers jours, la chérie du Prince de l'Amour Nikola Lozina a reçu de véhémentes attaques sur sa page Instagram où elle a publié des photos d'elle, sur lesquelles certains de ses abonnés assurent ne pas la reconnaître et lui reprochent d'avoir abusé de la chirurgie esthétique. La blonde de 27 ans a assuré que ce n'est qu'à cause des retouches faîtes par le photographe professionnel chargé des clichés, qui lui a lissé le visage et gommé ses imperfections.
"C'est vrai qu'on me reconnait pas forcément sur cette photo, ça fait plus photo de magazine, fille américaine, que moi mais après niveau chirurgie esthétique j'ai toujours assumé ce que j'ai fait, a-t-elle répondu alors que le journaliste rappelait qu'elle a eu recours à des injections de Botox au niveau du front et des lèvres. Je l'avais fait y a un an mais maintenant y a plus rien, je peux plier le front comme jamais je suis pleine d'expression. Je le referais plus parce que j'avais pas aimé donc je n'ai pas refait."
Si elle en a fini avec le bistouri, en revanche l'ex-fiancée de Julien Tanti, qui n'a jamais caché s'être fait poser des prothèses en silicone, entretient son capital beauté. "J'ai fait le vampire lift et je suis actuellement en train de faire la cure Méso : une cure de piqûres que l'on injecte dans le visage pour faire ressortir toutes les impuretés, pour que le visage soit plus net. Mais ce n'est pas de la chirurgie, ce sont des soins esthétiques", a-t-elle clarifié.
Princesse Jessica a ensuite été très directe envers les haters qui la traquent en leur conseillant de la supprimer de leurs réseaux sociaux. "Les gens que j'aime pas moi, je les déblaye", a-t-elle conclu. A bon entendeur.
Coline Chavaroche