Maurice Barthélémy et Judith Godrèche© Angeli
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Avec la sortie de Toutes les filles pleurent, dont elle est réalisatrice, actrice et chanteuse, Judith Godrèche est de tous les fronts. Cette fois, c'est dans le magazine Grazia qu'on la retrouve. Elle dévoile ses techniques particulières de metteur en scène et évoque aussi sa famille qui participe au long métrage : son fils Noé qu'elle a eu avec Dany Boon, et son compagnon Maurice Barthélémy. Extraits.
Dans son entretien, elle se confie sur la direction d'acteurs-enfants : "J'avais en tête le making-of de Kramer contre Kramer. J'étais assez fascinée par tout le travail fait par Dustin Hoffman sur le petit garçon : il n'hésitait pas à le brutaliser oralement avant les scènes, il allait assez loin."
Cette méthode extrême a fasciné Judith qui a décidé d'en utiliser l'essence : "De fait, je me suis autorisée à être un peu cruelle avec le pretit garçon de mon film. Quand je n'arrivais pas à obtenir de lui ce que je voulais, je lui disais de manière un peu forte et je repensais à Dustin Hoffman en me disant que, s'il l'a fait, je peux bien le faire aussi. Mon chef déco me traitait de sadique mais j'avais cette caution morale [rires]."
Quand on lui demande si c'était une évidence pour elle de diriger l'homme de sa vie, elle répond : "J'ai écrit le personnage en pensant à lui, tout en m'inspirant des personnages que j'ai envie de voir au cinéma, des gens un peu décalés, à la fois mystérieux, étranges et en même temps touchants, avec une part d'inaptitude à vivre dans la réalité. Moi, j'aime beaucoup les gens inaptes, je trouve que ça les rend romantiques, les hommes inaptes."
Entre sentiments réels et rêvés, Judith Godrèche puise dans ce qui l'entoure pour vivre sa passion du cinéma.
Dans son entretien, elle se confie sur la direction d'acteurs-enfants : "J'avais en tête le making-of de Kramer contre Kramer. J'étais assez fascinée par tout le travail fait par Dustin Hoffman sur le petit garçon : il n'hésitait pas à le brutaliser oralement avant les scènes, il allait assez loin."
Cette méthode extrême a fasciné Judith qui a décidé d'en utiliser l'essence : "De fait, je me suis autorisée à être un peu cruelle avec le pretit garçon de mon film. Quand je n'arrivais pas à obtenir de lui ce que je voulais, je lui disais de manière un peu forte et je repensais à Dustin Hoffman en me disant que, s'il l'a fait, je peux bien le faire aussi. Mon chef déco me traitait de sadique mais j'avais cette caution morale [rires]."
Quand on lui demande si c'était une évidence pour elle de diriger l'homme de sa vie, elle répond : "J'ai écrit le personnage en pensant à lui, tout en m'inspirant des personnages que j'ai envie de voir au cinéma, des gens un peu décalés, à la fois mystérieux, étranges et en même temps touchants, avec une part d'inaptitude à vivre dans la réalité. Moi, j'aime beaucoup les gens inaptes, je trouve que ça les rend romantiques, les hommes inaptes."
Entre sentiments réels et rêvés, Judith Godrèche puise dans ce qui l'entoure pour vivre sa passion du cinéma.