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Actrice superstar de Hollywood, Julia Roberts est une étoile au sourire lumineux dans le monde du cinéma. Les réalisateurs se l'arrachent depuis qu'elle a brillé dans Pretty Woman de Garry Marshall en 1990. Le New York Times dresse un portrait élogieux de cette comédienne intitulé : "La star qui n'a pas d'ennemi". Pourtant, Erin Brockovich, l'activiste qui a inspiré le film du même nom avec Julia dans le rôle titre se plaint d'avoir eu la vie gâché à cause de ce long métrage dans Closer. Deux articles qui, croisés, livrent un portrait intéressant de Julia.
Pour Tom Hanks qui a joué avec elle dans La Guerre selon Charlie Wilson et qui la dirige actuellement dans Larry Crowne déclare au New York Times : "Il n'y a pas de professionnels que j'admire plus que Julia." Mike Nichols, réalisateur de La Guerre selon... en rajoute : "Julia Roberts, Meryl Streep et mon épouse - Diane Sawyer - sont les trois femmes que j'aime." Comme si ce n'était pas assez, Elizabeth Gilbert dont le livre a été adapté dans Mange, Prie, Aime (au cinéma le 22 septembre) et dont Julia incarne le premier rôle la qualifie ainsi : "Si elle n'était pas star de cinéma, elle ne pourrait qu'être une fée professionnelle."
Manifestement, la maman des jumeaux Phinnaeus et Hazel, 5 ans, et Henry, bientôt 3 ans, qu'elle a eus avec le caméraman Daniel Moder, est au top, professionnellement et personnellement. Après avoir eu le rôle le plus touchant dans Valentine's Day (une femme militaire), elle a parcouru le monde pour incarner cette femme en plein questionnement existentiel aux quatre coins du monde pour Mange, Prie, Aime.
Ce discours élogieux montre à quel point Julia est une actrice appréciée humainement et professionnellement par ses pairs. Mais derrière ces propos "à l'américaine", c'est-à-dire relativement lisses (Julia est formidable, travailler avec elle fut la plus belle expérience de ma vie, etc.), d'autres personnes ne gardent pas forcément un souvenir impérissable voire traumatisant !
Dans le magazine Closer, Erin Brockovich raconte l'après-film. Celle qui a révélé un scandale industriel (la Pacific Gas and Electric Company déversait ses déchets toxiques dans les réserves d'eau potable d'une petite ville) a attiré l'attention de Hollywood. Son caractère de femme forte et déterminée était un rôle en or pour le cinéma et Julia Roberts a eu la chance de l'incarner, avec Oscar à la clef.
Toutefois, après le buzz du film et les invitations aux émissions de télévision, la véritable Erin Brockovich, trop exposée, devient une cible facile : "J'étais harcelée, inondée de commentaires sur mon look, mes décolletés et mes fautes de langage. Les gens m'envoyaient des lettres d'insultes du genre 'Ferme ta gueule', ou 'cache tes gros seins', c'était tellement blessant."
Sa famille fait les frais de sa surexposition, notamment sa fille : Elizabeth bascule dans la drogue à 12 ans : "Maman était sortie tous les soirs, elle n'était plus 'là'. J'en ai profité pour partir 'en live', témoigne la jeune fille aujourd'hui âgée de 19 ans."
A présent, les choses vont mieux, Erin s'est reconstruite et ses relations avec sa fille se sont améliorées. A 49 ans, elle espère revoir Julia à l'occasion des dix ans du film. La star pourra lui transmettre un peu de sa sagesse qui lui permet de vivre si paisiblement à Hollywood...
Pour Tom Hanks qui a joué avec elle dans La Guerre selon Charlie Wilson et qui la dirige actuellement dans Larry Crowne déclare au New York Times : "Il n'y a pas de professionnels que j'admire plus que Julia." Mike Nichols, réalisateur de La Guerre selon... en rajoute : "Julia Roberts, Meryl Streep et mon épouse - Diane Sawyer - sont les trois femmes que j'aime." Comme si ce n'était pas assez, Elizabeth Gilbert dont le livre a été adapté dans Mange, Prie, Aime (au cinéma le 22 septembre) et dont Julia incarne le premier rôle la qualifie ainsi : "Si elle n'était pas star de cinéma, elle ne pourrait qu'être une fée professionnelle."
Manifestement, la maman des jumeaux Phinnaeus et Hazel, 5 ans, et Henry, bientôt 3 ans, qu'elle a eus avec le caméraman Daniel Moder, est au top, professionnellement et personnellement. Après avoir eu le rôle le plus touchant dans Valentine's Day (une femme militaire), elle a parcouru le monde pour incarner cette femme en plein questionnement existentiel aux quatre coins du monde pour Mange, Prie, Aime.
Ce discours élogieux montre à quel point Julia est une actrice appréciée humainement et professionnellement par ses pairs. Mais derrière ces propos "à l'américaine", c'est-à-dire relativement lisses (Julia est formidable, travailler avec elle fut la plus belle expérience de ma vie, etc.), d'autres personnes ne gardent pas forcément un souvenir impérissable voire traumatisant !
Dans le magazine Closer, Erin Brockovich raconte l'après-film. Celle qui a révélé un scandale industriel (la Pacific Gas and Electric Company déversait ses déchets toxiques dans les réserves d'eau potable d'une petite ville) a attiré l'attention de Hollywood. Son caractère de femme forte et déterminée était un rôle en or pour le cinéma et Julia Roberts a eu la chance de l'incarner, avec Oscar à la clef.
Toutefois, après le buzz du film et les invitations aux émissions de télévision, la véritable Erin Brockovich, trop exposée, devient une cible facile : "J'étais harcelée, inondée de commentaires sur mon look, mes décolletés et mes fautes de langage. Les gens m'envoyaient des lettres d'insultes du genre 'Ferme ta gueule', ou 'cache tes gros seins', c'était tellement blessant."
Sa famille fait les frais de sa surexposition, notamment sa fille : Elizabeth bascule dans la drogue à 12 ans : "Maman était sortie tous les soirs, elle n'était plus 'là'. J'en ai profité pour partir 'en live', témoigne la jeune fille aujourd'hui âgée de 19 ans."
A présent, les choses vont mieux, Erin s'est reconstruite et ses relations avec sa fille se sont améliorées. A 49 ans, elle espère revoir Julia à l'occasion des dix ans du film. La star pourra lui transmettre un peu de sa sagesse qui lui permet de vivre si paisiblement à Hollywood...