Décidément, partout où elle passe, elle conquiert les coeurs des habitants ! Kate Middleton, magistrale dans sa robe argentée pour une réception chez le Gouverneur des Bahamas, a également montré qu'elle aimait se mêler aux habitants des pays qu'elle a découverts ces derniers jours.
Après avoir visité une école puis fait une régate, en short, où elle a perdu contre son mari, elle a cette fois ébloui la foule bahamienne dans un restaurant local. Accompagnée du prince William, elle avait choisi une robe rose longue de la marque Rixo accompagnée de sandales à talons compensés et de ses boucles d'oreilles créées par Nadia Irena Campbell, une bijoutière locale.
Le couple royal a partagé un moment agréable et complice chez Fish Fry où ils ont appris quelques recettes traditionnelles à base de poisson et ont goûté sans rechigner à de la nourriture bahamienne et aux boissons aux recettes secrètes. Complices, souvent hilares, ils ont multiplié les gestes d'affection devant une foule conquise. Kate est même allée en cuisine, couteau en main, pour prendre une petite leçon.
Un peu plus tard dans la journée, ils ont visité l'église évangélique Daystar Abaco, pour en apprendre plus sur les conséquences de l'ouragan Dorian qui avait touché l'archipel en 2019. Après un moment de recueillement, le duc et la duchesse de Cambridge ont rencontré de nombreux enfants... parfois un peu timides ! Parents de trois enfants (George, 8 ans, Charlotte, 6 ans et Louis, bientôt 4 ans) restés à la maison, le couple a souvent montré qu'il adorait les bambins.
Enfin, la journée du couple s'est conclue par une visite dans l'association Coral Vita, dont l'action qui redonne vie aux coraux avait été récompensée par un prix. Quelques heures plus tard, ils ont repris l'avion pour rentrer au Royaume-Uni. Kate Middleton, les cheveux attachés, avait cette fois choisi une robe à fleurs jaune Alessandra Rich et des escarpins blancs.
Une semaine dans les Caraïbes qui n'a pas été de tout repos pour le prince William et sa femme : en plus des visites et des réceptions, ils ont parfois abordé des sujets difficiles comme la colonisation qui avait touché les trois pays visités et pour lesquels certains voudraient une forte réparation ; le sentiment antiroyaliste qui enfle. Le petit-fils de la reine a d'ailleurs reconnu dans un discours très fort qu'il ne "dirigerait sans doute pas le Commonwealth", comme le fait aujourd'hui sa grand-mère, ajoutant qu'il était "au service de la population" et qu'il ne voulait pas les contraindre à faire ce qu'ils ne désiraient pas.