Kate Moss parle enfin. Pendant des années, la star évitait soigneusement les interviews. Mais depuis quelque temps, et à mesure que les années défilent, la Brindille sort de sa carapace pour s'exprimer sur sa carrière et sa vision de la mode.
Celle qui reste l'un des mannequins les plus demandés et les mieux payés de la planète est l'objet d'un entretien exclusif paru dans le magazine Madame Figaro, en kiosques le samedi 3 mars. Extraits.
Quand on l'interroge sur le milieu qui l'a rendue célèbre, Kate Moss a le recul nécessaire pour faire la part des choses. "L'industrie de la mode m'a permis de rencontrer des gens extraordinaires, de tisser de vraies relations amicales (...) mais je n'oublie pas pour autant les moments difficiles. Par exemple, je garde un terrible souvenir de mes premiers défilés. C'était usant", dit-elle.
Et de poursuivre au sujet de sa collaboration avec Mango dont elle est devenue l'égérie : "J'aime l'idée d'une mode très casual et glamour. En prêtant mon image pour une marque espagnole, je faisais aussi un clin d'oeil à Ibiza, où j'adore passer des vacances en famille."
Kate le top, en effet, qui avoue avoir un faible pour le mannequin danois Freja Beha, et Catherine Deneuve, symbole selon elle de l'élégance à la française, est aussi une femme, comme les autres, maman d'une petite Lila, 8 ans déjà.
"L'été dernier, avec mon mari, nous nous sommes amusés à traquer Brigitte Bardot à Saint-Tropez. Nous avons jeté l'ancre de notre bateau devant chez elle, espérant l'apercevoir. Mais on ne l'a jamais vue. J'aimerais beaucoup la rencontrer", confie-t-elle. Une anecdote amusante qui défroisse son image parfois glaciale.
Celle qui aime cuisiner et qui s'amuse même à reproduire avec ses amis Un dîner presque parfait termine en livrant un secret de taille : les basiques d'un bon dressing. La star qui délaisse les skinny pour une allure seventies avec l'incontournable jean flare, plébiscite "les bijoux, le jean, le blazer et une paire de Ray-Ban".