L'amour est dans le pré 8 : En plein scandale, Thomas a trouvé l'amour

Candidat de la huitième saison de L'amour est dans le pré sur M6, Thomas Menant ne s'attendait probablement pas à défrayer la chronique... Mais c'est pourtant bien lui qui se retrouve actuellement à faire les gros titres à cause d'une plainte pour "acte de cruauté envers un animal domestique" après la mort d'un de ses chevaux à Allery (Somme). Une triste affaire durant laquelle il peut heureusement compter sur le soutien de... sa compagne. Car à défaut d'avoir trouvé l'amour devant les caméras de M6, l'éleveur l'a trouvé dans la vraie vie, révèle VSD dans son édition du jeudi 8 août 2013.

Blessé de voir son nom entaché par cette affaire dont il dit n'avoir rien à se reprocher, Thomas Menant peut au moins se consoler grâce à son amoureuse. "J'ai rencontré quelqu'un en avril", confie-t-il au magazine. Une jolie histoire pour celui qui n'avait pas réussi à séduire ses deux prétendantes dans L'amour est dans le pré, Pauline et Marie. "Elle regarde l'émission tous les lundis, pour voir les conneries que je dis. Ca fait bizarre, c'est sûr, mais elle connaît l'issue, elle sait qu'il ne s'est rien passé avec les deux filles", raconte l'éleveur. Une expérience qu'il ne vit pas pour autant comme un échec. "J'ai compris qu'il me fallait une passionnée de grands espaces et de liberté, pas juste une fille qui aime monter à cheval", estime-t-il.

Pour Thomas Menant, l'interview accordée à VSD est également l'occasion de répondre à ses détracteurs sur cette fameuse affaire pour laquelle il s'est retrouvé dans la lumière. L'éleveur répond d'abord à une jeune habitante du village qui assure dans le magazine qu'il "sortait avec Ségolène", une fille du village qui "travaille dans les chevaux", et ce pendant l'émission. "Ils n'ont vraiment rien à raconter !", s'indigne l'éleveur de 29 ans, très affecté par la polémique. Le moral en berne, ça ne va "pas fort" pour lui. "Fremantle (producteur de l'émission de M6, ndlr) m'a conseillé de ne trop rien dire, mais je n'ai rien à me reprocher (...) je suis harcelé, j'ai limite des menaces de mort, du genre "on aura ta peau !" (...) je ne suis pas un pédophile !", déplore le jeune homme.

A propos de son cheval mort, Bianco, atteint d'une myopathie atypique et qui aurait été laissé agonisant par Thomas Menant, parti à Paris pour une formation, beaucoup lui reprochent de ne pas l'avoir euthanasié. "On n'autorise pas l'euthanasie des gens, pourquoi j'euthanasirais mes chevaux ?", se défend-il. "Je lui ai administré en intramusculaire du Calmivet, un calmant prescrit par le vétérinaire. Quand je l'ai laissé devant la pâture le matin vers 8 heures, il était dans ses derniers instants (...) j'ai du mal à croire que deux heures après, il se débattait (...) je ne regrette rien", assume haut et fort l'éleveur, qui admet simplement avoir préféré pouvoir rester aux côtés du cheval. Pour lui, il en est persuadé, l'affaire a éclaté à cause d'un "voisin jaloux".

Un avis que ne partage pas Isabelle Grenon, la directrice du refuge Oisemont protection animale (OPA), appelée sur les lieux pas un passant anonyme ayant vu le poulain agonisant sous une bâche, et qui a porté plainte. "Il change de version comme de chemise. La bâche, un coup, il la met en paravent sur des pneus empilés, un coup, il la met sur l'animal quand il est mort. Une fois il est à Paris dès lundi, une autre fois, il y va le mardi...", déplore-t-elle. Thomas Menant, qui risque deux ans de prison et 30 000 euros d'amende, risque donc d'avoir encore besoin du réconfort de sa nouvelle compagne...