Poids lourds du show business international, elles pourraient allègrement se tirer dans les pattes. Mais entre Britney Spears et Lady Gaga, c'est l'amour fou ou presque. La Mama Monster n'a pas manqué en tout cas de se rendre au show de sa non moins célèbre collègue qui a investi, depuis le 27 décembre dernier, les planches du Planet Hollywood dans le cadre de son spectacle-concert événement, Britney: Piece of Me.
Conquise par l'énergie déployée sur scène par notre infatigable Brit-Brit, la diva excentrique n'a d'ailleurs pas tari d'éloges sur la prestation de cette dernière et a pris la pose, ravie, en sa compagnie dans les coulisses."Avec Brit-Brit #ApplausePourBritney. On s'est vraiment bien amusés à ton show", a en effet commenté Lady Gaga en commentaire d'un cliché mémorable montrant les deux popstars ensemble. "Britney était si belle, le spectacle était vraiment top et son père nous a même fait le meilleur barbecue. C'était vraiment une #MonsterParty", a poursuivi la chanteuse de 27 ans sur son site Internet LittleMonsters.com.
Pour une fois sobre dans une robe simple, Lady Gaga, affublée pour l'occasion d'une perruque blonde de sirène et de lunettes de soleil, n'avait donc d'yeux que pour Britney Spears et son clan. D'ailleurs, il n'est pas impossible que cette amitié évidente ne se transforme en collaboration professionnelle. Britney ne s'est jamais cachée de son envie de travailler avec la Mother Monster qui, dans un tweet posté récemment, lui suggérait de passer effectivement à l'action. "Cette fois, on le fait, bitch (sic)", avait en effet écrit Lady Gaga, faisant référence au presque duo qu'aurait pu enregistrer les deux chanteuses : il faut en effet savoir que c'est Brit-Brit qui était censée participer au carton Telephone (sorti en 2010) et non la toute puissante Beyoncé. Finalement, la Mother Monster aurait peut-être mieux fait de choisir la première, étant donné que les choses se sont quelque peu envenimées avec la royale Mrs Carter. Au lendemain de leur collaboration, Lady Gaga n'avait pas manqué de qualifier l'imperturbable diva de "maniaque égocentrique et égoïste". Aïe.