Elle a été révélée au grand public dans L'amour est dans le pré 2024. Flavie était l'une des deux prétendantes de Valentin, éleveur de vaches de 26 ans au moment du tournage. Interrogée par Guignen Story, elle a dévoilé les coulisses de son aventure.
La jeune femme de 21 ans (qui est atteinte d'un sarcome) était fraîchement célibataire quand elle a découvert le portrait de Valentin. Séduite par l'agriculteur, elle a écrit sa lettre avec l'aide d'une amie. "Il n'a pas du tout aimé ma lettre. Pour lui, c'était une lettre écrite à la sauvette", a-t-elle toutefois avoué. Malgré tout, Flavie a été choisie pour passer quelques jours sur l'exploitation du candidat. Et très vite, elle s'est imposée dans le coeur de ce dernier. Sa rivale Illona n'a en effet eu aucune chance. Très vite, tous deux se sont rapprochés et ont échangé leur premier baiser lors de l'épisode du 4 novembre dernier. "Il est quand même un petit peu brusque. Parce que forcément, il n'a pas l'habitude et moi ça fait longtemps aussi donc il va falloir qu'on s'entraîne jusque tard maintenant !", s'était amusée la prétendante.
Pourtant, ce n'était pas leur premier bisou. En effet, lors de son entretien pour Guignen Story, elle a révélé qu'ils s'étaient embrassés hors caméras. "Le bisou, l'officiel, n'est pas celui qu'on voit. Il y en a eu plusieurs avant, celui qu'on voit, c'était exprès pour les caméras, l'officiel a été fait la veille", a-t-elle révélé. Et de préciser que certaines scènes sont en effet scénarisées : "Certaines choses vont être faites et refaites plusieurs fois pour avoir plusieurs plans de scène, ce qui est normal pour eux, comme ça, ils ont plusieurs choses."
Mais attention, Flavie à ses limites. Refaire un bisou, oui, en revanche elle tient à son intimité. Ainsi, quand la production a demandé à Valentin et elle d'être filmés en train de se mettre au lit, elle a refusé. "Quand il y a des trucs qu'on ne veut pas que ça passe, pour le coup, ils ne vont pas le filmer si on est vraiment catégoriques là-dessus. Il y a certains trucs qu'on a le droit de choisir", a-t-elle conclu.