Exclusif - Léa Salamé - Soirée annuelle de la FIDH (Fédération Internationale des ligues de Droits de l'Homme) à l'Hôtel de Ville à Paris, le 8 décembre 2014.© BestImage
La suite après la publicité
Tous les samedis soir, Léa Salamé forme avec Aymeric Caron le duo de critiques le plus redouté du PAF dans On n'est pas couché, sous la houlette de Laurent Ruquier. Très discrète dans les médias, la journaliste, qui a fait ses armes sur LCP et France 24 avant de briller sur iTÉLÉ, s'est confiée à nos confrères de Paris Match, en kiosques ce jeudi 8 janvier.
Parmi ses confidences, l'angoisse qui était la sienne au moment d'entrer en poste dans On n'est pas couché : celle d'un combat fratricide sur la place publique. "Les six premières émissions, j'avais l'impression de jouer ma vie dans une arène. Je me suis mis une pression monumentale", se souvient-elle. Une période qui n'est pas si lointaine puisque rappelons que Léa Salamé n'a remplacé la place laissée vacante par Natacha Polony qu'à la fin du mois d'août.
Son seul mot d'ordre : rester elle-même, intègre et droite dans ses bottes. "Je ne force pas ma nature : je ne joue pas un personnage et je ne crois pas que l'on sache pour qui je vote", se félicite celle dont la notoriété a explosé depuis son arrivée en hebdomadaire sur France 2. Un joli coup de projecteur sur son talent de journaliste qui ne se fait pas sans sacrifice. "Je ne fais que bosser, je n'ai plus de vie. Je me lève à 5h du matin, j'arrive à la radio à 6h, je fais l'interview puis je prépare celle du lendemain. Je rentre chez moi pour une sieste et je travaille jusqu'à 19h sur les interviews de Ruquier", explique Léa Salamé, dévoilant son agenda quotidien très dense. Pas simple, dans ces conditions, de trouver du temps pour son mystérieux amoureux !
En ces temps si difficiles où le monde de la presse laisse couleur son sang comme ses larmes, Léa Salamé dénonce le désamour de plus en plus persistant du peuple envers les élites. "Le système, on y appartient tous, insiste-t-elle, évoquant même ceux qui se proclament anti-système, à la gauche de la gauche, ou à la droite de la droite. Il y a un désamour entre le peuple et l'élite dont on pense que les médias font partie."
Joachim Ohnona
Entretien à découvrir en intégralité dans le Paris Match en kiosques le jeudi 8 janvier 2014.
Parmi ses confidences, l'angoisse qui était la sienne au moment d'entrer en poste dans On n'est pas couché : celle d'un combat fratricide sur la place publique. "Les six premières émissions, j'avais l'impression de jouer ma vie dans une arène. Je me suis mis une pression monumentale", se souvient-elle. Une période qui n'est pas si lointaine puisque rappelons que Léa Salamé n'a remplacé la place laissée vacante par Natacha Polony qu'à la fin du mois d'août.
Son seul mot d'ordre : rester elle-même, intègre et droite dans ses bottes. "Je ne force pas ma nature : je ne joue pas un personnage et je ne crois pas que l'on sache pour qui je vote", se félicite celle dont la notoriété a explosé depuis son arrivée en hebdomadaire sur France 2. Un joli coup de projecteur sur son talent de journaliste qui ne se fait pas sans sacrifice. "Je ne fais que bosser, je n'ai plus de vie. Je me lève à 5h du matin, j'arrive à la radio à 6h, je fais l'interview puis je prépare celle du lendemain. Je rentre chez moi pour une sieste et je travaille jusqu'à 19h sur les interviews de Ruquier", explique Léa Salamé, dévoilant son agenda quotidien très dense. Pas simple, dans ces conditions, de trouver du temps pour son mystérieux amoureux !
En ces temps si difficiles où le monde de la presse laisse couleur son sang comme ses larmes, Léa Salamé dénonce le désamour de plus en plus persistant du peuple envers les élites. "Le système, on y appartient tous, insiste-t-elle, évoquant même ceux qui se proclament anti-système, à la gauche de la gauche, ou à la droite de la droite. Il y a un désamour entre le peuple et l'élite dont on pense que les médias font partie."
Joachim Ohnona
Entretien à découvrir en intégralité dans le Paris Match en kiosques le jeudi 8 janvier 2014.