Comme chaque année, le casting des Anges de la télé-réalité 6 promet de l'animation ! Entre les belles plantes, les grandes gueules et les mauvais caractères, on ne risque pas de s'ennuyer ! Force est d'avouer que les Anges de la télé-réalité reposent beaucoup sur la pétillante Belge Amélie Neten. C'est Thibaut Vales, patron de La Grosse Equipe qui produit l'émission, qui le dit.
La jolie blonde, qui a tenté de devenir mannequin dans la saison 1, qui a réglé ses comptes avec Julie dans la saison 2, avant d'essayer dans la 4e édition de lancer une ligne de vêtements pour enfants et de la promouvoir dans la saison 5, est une grande habituée du programme. "Amélie est LE personnage emblématique des Anges de la télé-réalité. Elle est entière, elle a du caractère. C'est quelqu'un de populaire, d'attachant. Quand elle est revenue dans Secret Story, l'été dernier, l'émission a battu son record", explique le producteur à Télé 2 Semaines.
La raison de sa popularité ? Le franc parler de la Belge, son côté fun et sympathique, et bien sûr sa jolie plastique. Si Thibaut Vales précise qu'il existe trois grilles de salaire chez les Anges, "les candidats qui viennent des grosses chaînes, les participants issus de programmes de la TNT et les Anges anonymes", en tant que star du programme la maman d'Hugo touche 30 000 euros pour les dix semaines de tournage. Eddy et Anaïs, 18 000 euros, Kelly, Shanna ou encore Thibault, eux, 10 000 euros comme le révélait le magazine Public.
Et pour faire show, Amélie fait le show. Rien qu'en regardant les bandes-annonces de la sixième saison des Anges de la télé-réalité, la jeune femme est omniprésente. On la voit se réjouir à l'arrivée du kangourou, s'embrouiller violemment avec Nelly ou encore régler ses comptes avec Kelly.
Cette année, Amélie Neten pourrait bien se faire doubler par une autre "grande gueule", Anaïs, la gagnante de Secret Story 7.
Les Anges de télé-réalité 6, soirée spéciale à 22h40 sur NRJ 12. Les épisodes inédits seront dévoilés à partir du lundi 10 mars à 17h35 ensuite tous les soirs à 18h45.
Sarah Rahimipour