Depuis lundi 18 juin 2018, cinq nouvelles candidates s'affrontent dans Les Reines du shopping sur M6. Florence, Irmeline, Margaux, Zaineb et Marella doivent proposer la tenue idéale dans le thème imposé par Cristina Cordula, à savoir "branchée avec des carreaux". Dès le premier épisode, certains internautes ont taclé Marella, jugée "hautaine", "méchante" ou encore "jalouse" sur Twitter. La blogueuse de 28 ans a répliqué.
Avant même d'avoir eu le temps de regarder le replay de l'émission, Marella a eu vent des critiques dont elle est fait l'objet sur les réseaux sociaux. "Au vu des commentaires que je me prends dans la gueule, j'ai l'impression que j'ai été une connasse... ou qu'on a gardé que les moments de connassité ! Je ne suis pas que ça", lance-t-elle ainsi en story sur Instagram.
Puis, après avoir visionné le premier épisode des Reines du shopping de la semaine, la jolie brune branchée a poursuivi : "Je ne suis pas si terrible que ça. Ça se passe plutôt bien, il y a une bonne ambiance, on est plutôt raccord par rapport à ce qu'on pense. Pourquoi vous êtes toujours obligés d'exagérer sur internet ?" Et d'évoquer ce côté "négatif" qui lui colle à la peau : "Je dis quand même des choses positives ! Oui je me plains, je suis grave sans filtre. Mais ce que j'ai dit, vous ne pensez pas au fond ? C'est juste que je le dis tout haut." Cette blogueuse également gestionnaire de patrimoine se qualifie ainsi de personne "spontanée et naturelle". "Je ne me prends pas la tête et je dis vraiment ce que je pense", explique-t-elle.
Enfin, bien qu'elle assume les propos tenus face aux caméras, Marella estime que les images ne lui rendent pas justice. "Franchement M6 sur le montage vous auriez pu me montrer d'une autre manière parce qu'il n'y a pas que ça. Je trouve qu'ils ont forcé le trait de la connasse. J'en suis une, c'est totalement assumé. Mais là sérieux c'est un petit peu forcé tout de même, il ne faut pas exagérer", déclare-t-elle.
Rendez-vous du lundi au vendredi dès 17h30 sur M6 afin de suivre Les Reines du shopping.