Notre pauvre Lindsay Lohan est encore et toujours dans la tourmente... Outre ses excès en tout genre, côté vie privée la jeune actrice américaine vient de perdre une amie, Casey Johnson - l'héritière, âgée de 30 ans, de la multinationale américaine Johnson & Johnson -, mais ce n'est pas tout !
Celle qui avait défrayé la chronique en accédant au poste de conseillère artistique de la maison de luxe Ungaro, et qui avait sévèrement été critiquée pour sa collection présentée lors de la dernière Fashion Week parisienne, s'attire à nouveau les foudres du monde de la mode.
Le dernier scandale en date concerne sa propre griffe, baptisée 6126, pour laquelle Lilo est carrément accusée... de plagiat ! La it-girl, qui a révélé les premiers croquis de sa collection, a vu deux de ses pièces faire l'objet d'une lourde attaque pour copie de la part d'autres créateurs. Il s'agit du legging bimatière "Diamond" de Lindsay qui ressemble purement et simplement à une pièce ("Sheer Spartan"), signée James Lillis, le designer de la marque Black Milk Clothing. Mais aussi d'une robe aux imprimés triangulaires dangereusement similaire à une robe de la jeune styliste Jen Kao. Selon cette dernière : "Bien que nous soyons très conscients que le fait d'être copié a toujours existé dans l'industrie de la mode, l'évolution du phénomène est arrivé à un point plus qu'alarmant", et "c'est une honte d'encourager l'idée de profiter de petits créateurs qui tentent de se faire un nom", a-t-elle déclaré au Women's Wear Daily.
Dans le camp adverse, Kristi Kaylor, la présidente de 6126, s'avoue scandalisée et réfute toutes formes d'accusations. Elle explique même qu'il n'y a eu aucune intention de plagiat de la part de miss Lohan. Décidément, Lilo n'est vraiment pas la bienvenue au sein de la sphère fashion... Combien de temps va-t-elle encore se battre pour s'affirmer ? L'avenir nous le dira !
En attendant, affaire à suivre.
A noter : Lindsay a subi un road trip loin d'être glamour pour son retour de St-Barth', où elle était en vacances : elle a manqué sa correspondance (la faute, selon elle, à la compagnie, qui leur aurait annoncé que le vol était retardé alors qu'il ne l'était pas... Et, comble de malchance, c'était le dernier) et a dû rentrer chez elle en voiture depuis Charlotte en Caroline du Nord. Ce qui lui a largement laissé le temps de décrire sur Facebook les affres de ce voyage au rabais, et d'incendier US Airlines !
Nadia Benleulmi