Lou Pernaut simule un cambriolage : Critiquée, elle s'excuse mais avoue "s'être amusée à le faire"

Lou Pernaut a de l'imagination pour faire des placements de produits. Mais sa dernière idée n'a pas été bien reçue par ses abonnés TikTok. Très vite, la fille de Jean-Pierre Pernaut a donc fait son mea culpa auprès des personnes qui la suivent.

La jeune femme de 18 ans est très active sur les réseaux sociaux. Elle a d'ailleurs de nombreuses personnes qui suivent ses aventures sur Instagram ou encore TikTok. Mais l'une de ses dernières vidéos a été à l'origine d'un gros bad buzz. Lou Pernaut a simulé un cambriolage il y a quelques jours comme l'ont repéré nos confrères de Voici. "Il vient de m'arriver un truc horrible ! J'ai trop besoin de partager ça avec vous. Je me suis levée vers 10h30, mes parents sont partis au taff et je vois ça. Donc c'est obligé que quelqu'un est entré chez moi", a-t-elle expliqué. Et de préciser qu'elle venait de pleurer et qu'elle n'était "pas bien du tout". Tout en parlant, elle a dévoilé des images de son salon mis à sac. Des canapés étaient retournés ou du verre brisé au sol. La soeur de Tom (17 ans) a notamment déclaré que des diamants "de marques très connues" avaient été dérobés à sa mère Nathalie Marquay ainsi que certains de ses produits de beauté de luxe et des compléments alimentaires. "C'est un peu l'un des seuls produits qui marchait vraiment sur moi pour mincir, avoir une belle peau et être plus énergique", a-t-elle ajouté avant de faire la publicité du produit, avec le sourire.

Les internautes ont donc compris qu'il ne s'agissait que d'une mauvaise blague et n'ont pas hésité à crier leur colère. Face aux critiques, Lou Pernaut a donc tenu à s'excuser. "Je tiens à dire à toutes les personnes qui ont envoyé des messages, parce que tout le monde pense que je me suis fait cambrioler, que c'était une blague. Désolée d'avoir blessé plusieurs personnes", a-t-elle déclaré en story Instagram. Et de préciser : "Mais en tout cas, je me suis bien amusée à faire ça !" Ses fans ne sont donc pas à l'abris d'une nouvelle farce.