Il y a quelques années, Camille Lacourt - qui fête ce lundi 22 avril 2024 ses 39 ans - habitait Paris. Le quintuple champion du Monde et d'Europe de natation ouvrait d'ailleurs les portes de son duplex près de La Madeleine à nos confrères de Côté Maison, en 2018, leur faisant alors la visite de son intérieur, qu'il décrivait de la manière suivante : "Il a beaucoup de cachet avec ses moulures, son parquet d'origine. L'ambiance reste moderne mais on trouve quelques notes plutôt industrielles."
Ses pièces préférées : "Le salon et la salle à manger. J'aime recevoir, j'ai essayé d'aménager un séjour convivial et chaleureux avec un bar." Et son regret, sa cuisine : "J'aurais aimé qu'elle soit ouverte sur le séjour, c'est plus vivant, mais elle est fermée." Un problème qu'il n'a plus dans sa nouvelle maison. Car oui, il a déménagé depuis. Il s'est installé à Marseille, avec l'ancienne Miss Bourgogne Alice Detollenaere et leur fils Marius (il a également une fille prénommée Jazz, née en 2011 de sa précédente relation avec une autre reine de beauté :Valérie Bègue).
Leur nouvelle demeure est donc dotée d'une cuisine ouverte, mais aussi d'un grand salon avec un canapé d'angle, ainsi qu'une belle piscine et un four à pizza, installé dans le jardin. C'est ce que l'on observe via des photos partagées par l'athlète sur son compte Instagram. Mais pourquoi avoir quitté la capitale ? "Ce n'était pas facile de déménager pour le Sud, mais on est tellement mieux. Paris avec des enfants, on ne pouvait plus le vivre. Même si Paris reste dans mon coeur et dans mon emploi du temps", expliquait sa compagne au moment où ils ont pris cette décision, à savoir en septembre 2022.
C'est donc avant tout une question de cadre. "Cette ville, j'en suis fou. Elle m'apaise. J'adore son côté nature, la proximité immédiate de la mer, la philosophie de ses habitants", déclarait Camille Lacourt à propos de Marseille dans une interview accordée au Parisien. Il faisait ensuite un comparatif peu flatteur de sa nouvelle vie avec celle qu'il menait en région parisienne : "Ici, les gens sont humains. Ils n'ont pas le nez sur leur téléphone, ils lèvent la tête dans la rue, se parlent. Et en plus, je ne suis qu'à trois heures de TGV de Paris."
Lui et sa famille ont posé leurs valises "près du parc Borély et des plages du Prado, dans le sud de Marseille"