Depuis deux saisons, Maïtena Biraben est aux commandes de M comme Maïtena, sur RMC. Une émission qu'elle adore animer car on ne lui demande pas d'être quelqu'un d'autre comme elle l'a confié à nos confrères de Closer. L'animatrice de 51 ans est ensuite revenue sur l'affaire qui l'oppose à Canal+, son ancien employeur.
Pour rappel, licenciée pour faute grave en 2016, Maïtena Biraben avait décidé d'attaquer le groupe devant le conseil des prud'hommes. Elle accusait Vincent Bolloré de "licenciement nul ou sans cause réelle et sérieuse", lui réclamant plus de 4 millions d'euros d'indemnités de dommages et intérêts et de préjudice moral lors de l'audience qui s'est déroulée le 25 juin 2018, à Boulogne-Billancourt. Le verdict sera rendu le 27 septembre 2018 mais selon la maman de Lucas (né en 1996 d'une précédente union) et Gabriel (né en 2006 de son union avec Pierre Clément), l'affaire est loin d'être terminée.
"Sans surprise, les prud'hommes vont a priori dire que mon licenciement de Canal+ était abusif. S'ils décident ensuite de réviser à la baisse la somme que je demande, ils le feront, cela ne me pose aucun problème. Mais que Vincent Bolloré ne tienne pas ses engagements, ça je ne l'accepte pas ! Le 27, ce sera une première échéance, mais il y aura certainement un appel. On n'en a pas fini, c'est un processus de longue haleine...", a confié Maïtena Biraben. Et de préciser qu'elle ne s'était jamais vraiment remise de cet événement.
Pour conclure, la belle blonde a assuré que la ménopause, c'était le pied : "Les filles, si vous saviez comme c'est bien malgré les changements de poids... Je trouve qu'avoir 50 ans, c'est le bonheur. Avoir 50 ans, c'est être ado avec un cerveau. Et c'est un grand vecteur de liberté. Déjà que j'étais libre avant, je vous laisse imaginer maintenant."
L'intégralité de l'interview est à retrouver dans le magazine Closer, en kiosques vendredi 21 septembre 2018.