Marina Hands© BestImage
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A l'affiche du drame amoureux Voyez comme ils dansent de Claude Miller, Marina Hands se livre à différentes interviews. Si la comédienne a évoqué sa mère, Ludmila Mikaël, elle a également répondu aux questions décalées du magazine Première. Ainsi, on découvre quel est le film classique qui l'ennuie, les films et actrices qui l'inspirent, mais également l'un de ses regrets.
Si Marina devait livrer un regret cinématographique, elle citerait Antichrist de Lars von Trier, le cinéaste danois controversé et qui livrera bientôt en salles son Melancholia : "Au moment où Lars von Trier cherchait son actrice, le scénario a atterri chez moi, comme chez beaucoup d'autres. Je l'ai ouvert en tremblotant car c'est l'un de mes cinéastes favoris. Mais toutes ces scènes gore, cet isolement dans la forêt la nuit - l'une de mes plus grandes terreurs -, ça allait me rendre dingue. J'ignore s'il m'aurait choisie, mais je regrette de ne même pas avoir donné de suite." C'est finalement Charlotte Gainsbourg qui a écopé du rôle.
L'actrice césarisée pour Lady Chatterley pousse aussi un coup de gueule contre le "terrorisme intellectuel" qui érige des films comme oeuvres cultes à voir obligatoirement comme La Règle du jeu : "Le film qu'il faut avoir vu, eh bien, je ne l'ai pas vu. Alors oui, je suis une actrice indigne." Elle n'hésite pas non plus à ébranler le mythe de Casablanca : "J'ai du mal à comprendre la grande admiration que l'on peut avoir pour Ingrid Bergman dans ce film. Elle joue quand même de façon très emphatique et très affectée, ce qui m'empêche de m'identifier à son personnage. Quant à Bogart, je le ne trouve pas si passionnant que ça..."
Son admiration, elle la garde pour les films de Claude Miller comme L'Effrontée et La Petite Voleuse : "J'admirais Charlotte Gainsbourg qui allait dans un lycée pas très loin de chez moi." Elle cite également Eternal Sunshine of The Spotless Mind pour "Kate Winslet et ses cheveux multicolores."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Première du mois d'août 2011.
Si Marina devait livrer un regret cinématographique, elle citerait Antichrist de Lars von Trier, le cinéaste danois controversé et qui livrera bientôt en salles son Melancholia : "Au moment où Lars von Trier cherchait son actrice, le scénario a atterri chez moi, comme chez beaucoup d'autres. Je l'ai ouvert en tremblotant car c'est l'un de mes cinéastes favoris. Mais toutes ces scènes gore, cet isolement dans la forêt la nuit - l'une de mes plus grandes terreurs -, ça allait me rendre dingue. J'ignore s'il m'aurait choisie, mais je regrette de ne même pas avoir donné de suite." C'est finalement Charlotte Gainsbourg qui a écopé du rôle.
L'actrice césarisée pour Lady Chatterley pousse aussi un coup de gueule contre le "terrorisme intellectuel" qui érige des films comme oeuvres cultes à voir obligatoirement comme La Règle du jeu : "Le film qu'il faut avoir vu, eh bien, je ne l'ai pas vu. Alors oui, je suis une actrice indigne." Elle n'hésite pas non plus à ébranler le mythe de Casablanca : "J'ai du mal à comprendre la grande admiration que l'on peut avoir pour Ingrid Bergman dans ce film. Elle joue quand même de façon très emphatique et très affectée, ce qui m'empêche de m'identifier à son personnage. Quant à Bogart, je le ne trouve pas si passionnant que ça..."
Son admiration, elle la garde pour les films de Claude Miller comme L'Effrontée et La Petite Voleuse : "J'admirais Charlotte Gainsbourg qui allait dans un lycée pas très loin de chez moi." Elle cite également Eternal Sunshine of The Spotless Mind pour "Kate Winslet et ses cheveux multicolores."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Première du mois d'août 2011.