Adam Levine revient avec Animals, le nouveau clip de son groupe Maroon 5. Le juré de The Voice US a eu l'idée de se glisser dans la peau d'un malade et de poursuivre Behati Prinsloo, sa jeune épouse. Cette vidéo sanglante devrait soulever quelques haut-le-coeur.
Après le single Maps et son clip déjà violent, Maroon 5 tape très fort avec la vidéo d'Animals. On y retrouve la sublime Behati Prinsloo nue sous presque toutes les coutures, mais le synopsis de ce petit bout de film est digne d'un thriller plus horrifique qu'érotique. Adam Levine y incarne un boucher (oui, oui !) qui tombe sous le charme d'une délicieuse cliente incarnée par son épouse dans la vie, Behati. Le jeune boucher tatoué, qui apprécie de se vautrer à moitié nu contre les bestiaux qu'il découpe à longueur de journée (beurk !), se met alors en chasse. Se faufilant dans la rue, il piste la jeune femme, la suit en boîte de nuit et s'introduit dans son domicile. Histoire d'être encore plus inquiétant, le boucher photographie sa proie pendant son sommeil. Il se couche à ses côtés et imagine ce que pourrait être leur étreinte... mais les désirs coquins de ce garçon impliquent des litres de sang qui se déverseraient sur leurs deux corps nus. Bon appétit !
À la réalisation, on retrouve Samuel Bayer. En 2012, il transformait Adam Levine en héros en plein braquage de banque pour le clip Payphone de Maroon 5. On lui doit aussi les vidéos de What Goes Around... Comes Around (2007) de Justin Timberlake et de Smells Like Teen Spirit (1991) de Nirvana. En 2010, il réalisait un reboot encore plus sanglant des Griffes de la nuit. Quant à Adam Levine, ce n'est pas la première fois qu'il engage l'une de ses compagnes pour l'un de ses clips. En 2010, il se faisait casser la figure par sa girlfriend du moment, la torride Anne Vyalitsyna, dans celui de Misery. L'année suivante, elle apparaissait également dans celui de Never Gonna Leave This Bed. On la voyait alors câliner Levine sur un lit installé à l'arrière d'un camion traversant les rues de Los Angeles... Quelle imagination, cet Adam !