Mathilde Seigner lors de l'émission Vivement dimanche à Paris le 4 septembre 2013© BestImage
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Des coups de gueule, des bourdes, des débats... en plus de vingt ans de carrière, Mathilde Seigner n'a pas évité les éclats médiatiques. De retour aujourd'hui au théâtre, héroïne de la pièce d'André Roussin Nina, elle est plus que jamais apaisée et surtout, elle tire les leçons des expériences passées. Dans un édito pour La Parisienne, supplément du quotidien du 5 octobre, elle s'explique sur son nouvel état d'esprit.
Toujours aussi franche, Mathilde Seigner ne souhaite plus lancer de polémiques ou donner son avis sur des sujets brûlants : "Désormais, je fais plus attention, car mes coups de gueule sont utiles aux journalistes, mais ils ne me servent à rien." Ils ne servent qu'à l'épuiser : sa bourde aux César 2012 - elle avait clamé, devant le lauréat Michel Blanc, que JoeyStarr méritait de recevoir le prix du meilleur second rôle - est revenue dans les médias un nombre incalculable de fois. Elle assume, mais elle ne trouve plus amusant de participer ainsi au système médiatique : "Il faut savoir se taire aussi."
Mathilde Seigner, qui peut se targuer d'avoir une belle carrière et d'être très populaire dans le coeur des Français, est heureuse d'être toujours là : "J'ai parfois tourné des films moyens. Mais tout va bien." Comme Karin Viard ou encore Sandrine Kiberlain, elle estime qu'elle ne ressemble à personne : "Aujourd'hui, nous vivons à l'heure des actrices mannequins." On la retrouvera à l'écran prochainement dans l'adaptation du livre à succès La Liste de mes envies, avec Marc Lavoine.
La compagne de Mathieu Petit, cameraman, et maman de Louis, 6 ans, ne rêve que d'une vie tranquille, loin des affres de la vie parsienne. Certes, elle a une jolie maison avec jardin rue Mouffetard et elle apprécie le 5e arrondissement de sa naissance, mais au fond, elle n'est pas une vraie Parisienne : "Trop de bruit, trop de pollution, trop de tristesse." Elle aime le bord de mer, et songe, pourquoi pas, à s'installer à La Rochelle. Et si son métier s'arrête, "ce ne sera pas un problème" : "Je me rendrai à la raison en me disant que j'ai fait ce qu'il a fallu."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le supplément "La Parisienne" du quotidien Le Parisien du 5 octobre
Toujours aussi franche, Mathilde Seigner ne souhaite plus lancer de polémiques ou donner son avis sur des sujets brûlants : "Désormais, je fais plus attention, car mes coups de gueule sont utiles aux journalistes, mais ils ne me servent à rien." Ils ne servent qu'à l'épuiser : sa bourde aux César 2012 - elle avait clamé, devant le lauréat Michel Blanc, que JoeyStarr méritait de recevoir le prix du meilleur second rôle - est revenue dans les médias un nombre incalculable de fois. Elle assume, mais elle ne trouve plus amusant de participer ainsi au système médiatique : "Il faut savoir se taire aussi."
Mathilde Seigner, qui peut se targuer d'avoir une belle carrière et d'être très populaire dans le coeur des Français, est heureuse d'être toujours là : "J'ai parfois tourné des films moyens. Mais tout va bien." Comme Karin Viard ou encore Sandrine Kiberlain, elle estime qu'elle ne ressemble à personne : "Aujourd'hui, nous vivons à l'heure des actrices mannequins." On la retrouvera à l'écran prochainement dans l'adaptation du livre à succès La Liste de mes envies, avec Marc Lavoine.
La compagne de Mathieu Petit, cameraman, et maman de Louis, 6 ans, ne rêve que d'une vie tranquille, loin des affres de la vie parsienne. Certes, elle a une jolie maison avec jardin rue Mouffetard et elle apprécie le 5e arrondissement de sa naissance, mais au fond, elle n'est pas une vraie Parisienne : "Trop de bruit, trop de pollution, trop de tristesse." Elle aime le bord de mer, et songe, pourquoi pas, à s'installer à La Rochelle. Et si son métier s'arrête, "ce ne sera pas un problème" : "Je me rendrai à la raison en me disant que j'ai fait ce qu'il a fallu."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le supplément "La Parisienne" du quotidien Le Parisien du 5 octobre