C'est le match que toute la France du rugby attend avec énormément d'impatience. Ce dimanche 15 octobre, le XV de France affronte l'Afrique du Sud en quart de finale de la Coupe du monde de rugby. Un match capital pour les joueurs de Fabien Galthié et pour l'heure, la grande interrogation repose autour de la présence ou non d'Antoine Dupont, blessé à la mâchoire, mais susceptible de revenir pour cette rencontre. Une confrontation qui va se tenir au Stade de France, dans un stade de plus de 80 000 places et pour lequel les billets s'arrachent à prix d'or.
Comme c'est le cas dans le football, le phénomène d'achat et de revente de places fonctionne depuis plusieurs jours et Maxime Mermoz vient tout juste d'être accusé d'avoir voulu en profiter. "On ne va pas dire le nom, mais un ancien joueur du XV de France vend 10 places en catégorie 1 pour le quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud à 500 euros la place. Les places étaient vendues 300 euros et c'était limité à 6 places par personne. (C'est pas Chabal)", écrit un internaute sur X (anciennement Twitter), avant qu'un second ne dévoile la story de Maxime Mermoz, qui a effectivement proposé des places à ce prix. Une attitude qui a fortement déplu à de nombreuses personnes et l'ancien rugbyman a donc décidé de s'expliquer sur ses agissements dans sa story (qui est à retrouver dans le diaporama).
Quand même triste de justifier un truc aussi simple, mais bon, certains voient le mal partout
L'ancien mari de Barbara Morel a tenu à expliquer la situation et réfute les accusations de recel de billets. "Je ne vends rien. Je mets en relation un vendeur de place que je connais avec des acheteurs qui veulent se régaler dans les stades. Je le fais pour rendre service à des personnes qui cherchent des places et cela gracieusement. Merci de votre compréhension", précise Maxime Mermoz, avant d'ajouter, très agacé par cette polémique : "Quand même triste de justifier un truc aussi simple, mais bon, certains voient le mal partout. Belle journée à vous."
Une grosse mise au point de la part de l'ancien rugbyman, qui se défend d'avoir voulu se faire de l'argent sur le match des Bleus.