Pendant de longues semaines, la présence éventuelle de Meghan Markle au bras du prince Harry lors du mariage de Pippa Middleton et son fiancé James Matthews, samedi 20 mai, a été le point le plus discuté de l'événement. La voilà à Londres, fin prête...
D'abord annoncée blacklistée du fait des restrictions supposément imposées par la soeur de la duchesse de Cambridge, qui aurait fait valoir auprès de ses convives la règle du "no ring, no bring" ("pas de bague, pas d'accompagnant") pour ne tolérer que les couples officiellement liés, on estima ensuite qu'elle n'assisterait pas à la cérémonie religieuse en l'église St Mark à Englefield mais prendrait part à la fête organisée dans le jardin des Middleton à Bucklebury, à une dizaine de kilomètres de là. Puis les médias britanniques ont in fine acquis la certitude que l'actrice américaine de 35 ans serait la bienvenue pour l'intégralité du mariage.
Son arrivée à Londres en provenance de Toronto dès mardi 16 mai, à la faveur d'un congé exceptionnel accordé du 15 au 22 par la production de la série Suits dont elle est l'héroïne, présage effectivement sa participation à la noce. Débarquée à l'aéroport international Heathrow, elle a rallié directement le palais de Kensington, où le prince Harry occupe le Nottingham Cottage.
Deux mois après avoir assisté ensemble en Jamaïque au mariage d'un des tout meilleurs amis du prince, Tom Inskip, et deux semaines après leur première apparition lors d'un événement public – un tournoi de polo où on les a même surpris en pleine pause tendresse –, Harry et Meghan créeront malgré eux l'événement dans l'événement, ce week-end dans le Berkshire. D'autant qu'au rythme auquel évolue leur relation née en juin 2016, ils pourraient être parmi les prochains à publier des bans... L'Église d'Angleterre a d'ailleurs confirmé dernièrement que le prince anglais de 33 ans pourrait épouser sa compagne, originaire de Los Angeles, en l'abbaye de Westminster s'il le souhaitait – compte tenu de la discrétion du jeune couple, on en doute très fortement. À condition bien entendu d'avoir la bénédiction de sa "boss", comme il se plaît à l'appeler : la reine Elizabeth II.