Avant d'entamer leurs répétitions au Puy-du-Fou en marge du centenaire de Miss France, les 29 candidates en lice ont eu le privilège d'être accueillies au château de Versailles pendant quelques jours. Sur place, elles y ont passé le fameux test de culture générale, ont également suivi des cours de bonnes manières et ont appris à défiler. Mais ce n'est pas tout, les Miss régionales ont pu découvrir le lieu emblématique du pays construit par Louis XIV de manière exceptionnelle. Visites privées, accès à des pièces interdites aux touristes, redécouverte de l'Histoire de France... un voyage de préparation qui restera à coup sûr dans leurs mémoires à toutes.
Cette expérience réussie ne fait alors pas regretter aux prétendantes au titre de ne pas s'être envolées sur une île paradisiaque comme le voulait au départ la tradition. "Voyage lointain ou non, je suis contente d'en être", s'est d'ailleurs réjouit Justine Dubois, Miss Poitou-Charentes auprès de Gala. La jeune femme de 24 ans est surtout heureuse de pouvoir faire honneur à sa soeur, laquelle avait tenté sa chance à Miss France en 2017, sans en ressortir gagnante. "Alors, je le fais pour nous deux", explique-t-elle.
La participation de Justine Dubois a donc tout d'un air de déjà vu pour son père. Ce dernier aurait désormais selon elle un avis bien tranché sur le concours de beauté. "Il est persuadé que tout est joué d'avance. En même temps, il se protège. Si je perds, il pourra toujours dire que l'élection est truquée", s'est-elle amusée à révéler à nos confrères. Originaire d'Angoulême, cette diplômée d'un master en achats internationaux fera toutefois tout pour lui donner tort et espère se démarquer le soir de l'élection le 19 décembre prochain.