Dans la nuit du dimanche 8 mai 2022, Antoine Alléno, le fils de Yannick Alléno, est mort. Percuté par un chauffard qui conduisait une voiture volée, alors qu'il était lui en scooter, l'accident lui a été fatal. Depuis, les hommages pleuvent pour ce jeune homme de 24 ans parti trop tôt, comme le rappelle encore un post partagé par son père, ce mardi 10 mai. Le chef étoilé a réagi à la tragique nouvelle, brisant le silence sur la "profonde tristesse" du clan. Mais le père de Yannick Alléno, dans la souffrance, continue de faire savoir sa peine sur les réseaux sociaux, et tient à remercier le soutien de tous.
Sur Instagram, ce mardi 10 mai, le célèbre chef a ainsi partagé de nombreux contenus évoquant son fils Antoine, qui a brutalement perdu la vie à l'âge de 24 ans, dans le 7e arrondissement de Paris. Et d'innombrables photos, souvenirs de moments inoubliables passés avec ce dernier. "Tellement injuste !!!", peut-on lire sur l'un d'entre eux, en légende d'une superbe photo du père et son fils. "Un ange parti bien trop tôt", continue ainsi la story relayée par Yannick Alléno (voir le diaporama). Un message lourd de sens.
Les Allénos au boulot
Père de Thomas Alléno, lui aussi fruit de ses amours avec son ex-épouse Isabelle, le chef a également partagé quelques photos avec ses deux fils, en cuisine. "Les Allenos au boulot", écrit-il. Le père du jeune Antoine Alleno, avec lequel il possédait l'établissement Burger Père & Fils, dont il a décidé la fermeture, vit la plus terrible des pertes et remercie aussi les soutiens qu'il reçoit. "Regarde Antoine tout le monde pense à toi !!!!", a-t-il ainsi posté en légende d'une photo de nombreux bouquets de fleurs déposés devant leur restaurant, à la porte close.
Quant au chauffard accusé de sa mort et d'avoir également fait deux blessés – la passagère d'Antoine Alléno, ainsi qu'un chauffeur de VTC également percuté –, l'homme de 24 ans, originaire du Val d'Oise et qui venait de voler l'Audi responsable du drame, s'est dit "trop ivre" pour s'expliquer, selon les informations du journal Le Parisien. Arrêté à pied quelques minutes après la collision, par un commissaire présent par hasard, il a d'abord refusé un test d'alcoolémie, avant d'être conduit à l'hôpital pour un prélèvement sanguin, revenu positif à la boisson mais également aux produits stupéfiants. En garde à vue depuis le drame, il ne donne aucune explication.