Nabilla a très souvent l'habitude de partager les meilleurs moments de sa vie avec ses millions d'abonnés mais, en réalité, elle est parfois confrontée à des situations plus difficiles. Ces derniers temps, c'est son fils Milann (3 ans) qui lui donne tout particulièrement du fil à retordre. La femme de Thomas Vergara, alors dépassée par les événements, s'en était confiée sur Snapchat. Un réflexe qu'elle regrette d'avoir eu aujourd'hui. Et pour cause, elle est finalement devenue l'objet de critiques injustes.
"Je vous avait dit que j'étais un peu triste par rapport à l'éducation de Milann... J'ai eu le malheur de dire ça, j'ai juste voulu être sincère pour montrer que j'étais un être humain, que quelque chose me chagrinait, que je n'étais pas qu'en mode robes, strass et paillettes, bref... je n'ai même pas expliqué le problème, je l'ai survolé et les gens m'ont dit : 'Oui mais tu le traites comme un prince, c'est de ta faute'", a-t-elle déploré. Face à cette vague de méchanceté, Nabilla veut désormais se montrer radicale. "Du coup j'ai pris la décision de ne plus parler de mes problèmes, de l'éducation de mes enfants ou autres. Je voulais en parler pour les autres mamans qui pouvaient se trouver dans le même cas, je pensais que ça pouvait faire du bien mais pas du tout, ça a fait l'effet inverse et ça c'est vraiment dommage", a-t-elle expliqué.
Avant de couper court avec sa communauté, Nabilla est tout de même revenue sur le fond du problème : l'éducation de Milann. "On est en train de régler certains aspects de son éducation qui ne nous plaisent pas. C'est les parents qui décident de l'éducation, on a tous une manière bien à nous d'éduquer nos enfants", a-t-elle rappelé, donnant quelques exemples personnels : "Sur l'alimentation on fait attention, j'ai la chance de pouvoir avoir un chef, je ne vais pas le cacher et son alimentation est parfaite. Il dort tous les soirs à 8h à part quelques exceptions, il a l'école, le sport, la gym, le foot, là il a fait du ski pendant neuf jours, 2h par jour, il a adoré...", a-t-elle listé.
Mais malgré tout, elle n'échappe pas à quelques couacs, lesquels resteront désormais dans la sphère du privé. "On essaye vraiment de faire en sorte qu'il soit épanoui mais tout n'est pas parfait. Et j'hésite maintenant à le partager parce que j'étais en détresse la dernière fois mais on m'a dit que c'était un prince... Désolée, j'aime mon fils, je me remets aussi en question, peut être que j'en ai trop fait, je ne suis pas parfaite...", a-t-elle conclu.