Nabilla, Nabilla oh Nabilla... Qui n'a pas prononcé au moins une fois ce prénom ces dix derniers jours ? Depuis le lancement de la cinquième saison des Anges de la télé-réalité sur NRJ12, la belle est devenue une véritable star sur la Toile.
Et si certains la considèrent déjà comme une icône, la comparant parfois à Marilyn Monroe ou même à Mona Lisa, d'autres, plus sceptiques, ou qui sait peut-être jaloux, n'épargnent pas la baby doll. Après Laurent Ruquier, qui se demandait si le silicone n'avait pas rongé le cerveau de la starlette, c'est au tour d'Enora Malagré de la tacler !
Il n'aura pas fallu plus qu'un "Allo, non mais allo t'es une fille et t'as pas de shampooing" - et probablement qu'une jolie poitrine bien (re)faite - pour que la sulfureuse brunette Nabilla déclenche un tsunami médiatique. La belle a beau être encore en train de se dorer la pilule à Miami, son prénom, lui, s'étale partout sur le Web, et même ailleurs... De la couv' de Charlie Hebdo au Grand Journal (qui voudrait la recevoir), en passant par L'Express ou Libération (qui souhaiterait lui consacrer sa célèbre quatrième de couv), Nabilla Benattia est sur tous les fronts !
Une surmédiatisation qui n'est pas sans déplaire à la jolie et sexy Enora Malagré, célèbre chroniqueuse de Touche pas à mon poste sur D8 - qui a passé la barre du million de téléspectateurs lundi 18 mars -, qui n'est pas une grande fan du genre télé-réalité. Hier, mardi 19 mars, dans l'émission la plus succesfull du Paf depuis cette rentrée, Enora n'a pas hésité à tacler la bombe des Anges : "Ça devient un phénomène ! Il y avait déjà Zahia. Mais avec Zahia, il y a un peu un côté rédemption, elle a dû faire des choses qui l'ont fait souffrir pour en arriver là où elle est aujourd'hui. L'autre, elle est là, elle diffuse quoi comme image aux gamines ? J'ai des seins comme ça, je me frotte contre des poteaux et je fais semblant de faire l'amour avec des hommes mariés. Sanctifier cette personne, je trouve ça grave et d'en faire un objet de coolitude, on part en vrille et nos petits copains du Grand Journal, 'non mais allo', je comprends pas !" Ça c'est fait !
Qu'on l'idolâtre ou qu'on la fustige, Nabilla n'a quoi qu'il en soit pas fini de faire jaser... A Star is born !