C'est à son domicile de Cassis (tout près de Marseille), où elle vit avec Adil Rami depuis plus d'un an, que Pamela Anderson a reçu les caméras de l'émission 60 Minutes Australia pour une interview confession. L'occasion pour la star de 51 ans d'évoquer sa nouvelle vie en France, son militantisme pour la protection des animaux ou bien encore son histoire d'amour avec le champion du monde de 18 ans son cadet.
Heureuse et comblée, l'actrice a d'abord évoqué ses relations passées, elle qui a été mariée quatre fois et "fiancée neuf fois, peut-être plus" au cours de sa vie. Justifiant son côté fleur bleue, celle qui cartonne à l'écran dans Danse avec les stars a tout simplement expliqué : "Je crois en l'amour. Je n'aime pas être divorcée, j'adore être mariée. Enfin, toute la partie mariage est difficile, mais j'aime les cérémonies de mariage. Je pense, oui peut-être, qu'une seule fois aurait dû me suffire", a-t-elle déclaré.
C'est ensuite qu'elle a mentionné son compagnon actuel. Lorsque le journaliste lui demande si Adil Rami lui a "donné une bague", Pamela Anderson a répliqué avec un sourire lumineux. "Bien sûr ! (...) Oui. Je ne la porte juste pas pour le moment, elle est en haut", a-t-elle ajouté en montrant ses mains. Elle se gardera bien de prononcer le mot "fiançailles" mais l'idée est là...
#MeToo paralyse les hommes
Lors de cet entretien télévisé, Pamela Anderson est également revenue sur le mouvement #MeToo, des propos qui ne plairont pas à tout le monde. "Je pense que ce féminisme peut aller trop loin. Je suis féministe, mais je pense que cette troisième vague de féminisme est ennuyeuse. Je trouve que ça paralyse les hommes. Je pense que ce mouvement #MeToo est un peu too much pour moi. Je suis désolée, je vais probablement me faire tuer pour avoir dit ça. (...) Ma mère m'a toujours dit de ne pas aller dans un hôtel avec un inconnu. Et si quelqu'un ouvre la porte en peignoir alors que c'est censé être un rendez-vous d'affaires, peut-être que je devrais m'adresser à quelqu'un d'autre... Certaines choses font sens. Ou alors, si vous y allez, alors obtenez le boulot. Je suis Canadienne... Désolée, je ne suis pas politiquement correcte", a-t-elle conclu en se moquant de son sens de l'humour.