Lundi 4 mars 2024, France 2 va lancer sa nouvelle série événement, baptisée La Peste, en prime time. "Nous sommes en 2030, dans une société où résonnent étrangement les craintes et les préoccupations d'aujourd'hui. Cette société sort à peine de la vague des épidémies covid. Et la peste qu'elle rencontre est autrement plus redoutable... Alors que l'on a appris à vivre avec les variants saisonniers de la covid, on découvre dans cette ville du Sud un nouveau variant du bacille de la peste baptisé YP2. Faute de traitement, le gouvernement central va décider, afin d'épargner le reste du pays, de boucler la ville - puis d'y appliquer un mystérieux 'Plan D' dont nous découvrirons peu à peu les monstrueux ressorts", a indiqué la chaîne publique dans un communiqué, en guise de teaser. Un casting cinq étoiles a été réuni pour cette adaptation télévisuelle de l'oeuvre littéraire éponyme d'Albert Camus. Parmi les acteurs présents à l'écran, les téléspectateurs de France 2 pourront notamment retrouver Pascale Arbillot.
Figure populaire du cinéma français depuis déjà de nombreuses années, la comédienne tourne aussi régulièrement pour des productions télévisées. Dans le cadre de la promotion de la nouvelle série de France 2, Pascal Arbillot a accordé une interview à La Tribune du dimanche le 3 mars 2024. Au sein de cet entretien, l'actrice a notamment évoqué le suicide de son ancien compagnon : "Je n'ai jamais vraiment compris ceux qui croient en Dieu. Je crois davantage en l'âme, la spiritualité. J'ai été confrontée à la mort, mais rien n'a changé pour moi", a tout d'abord lancé la comédienne, avant de dévoiler quelles seraient, selon elle, les raisons qui ont poussé l'homme qui partageait sa vie à se donner la mort. "Il a grandi dans une famille très religieuse, très classique, très conventionnelle. C'est cette étroitesse d'esprit qui l'a tué", a-t-elle affirmé.
Ce drame n'est malheureusement pas la seule épreuve que Pascale Arbillot a dû affronter au cours de son existence. En effet, l'actrice avait fréquenté le comédien et réalisateur Artus de Penguern au début des années 2000. Ce dernier est tragiquement mort en 2013, suite à un accident vasculaire cérébral (AVC). Aujourd'hui, Pascale Arbillot ne "ressen[t] pas ce besoin maladif de [se] caser, de [se] sentir aimée" : "Je préfère sortir danser jusqu'à pas d'heure et éventuellement rouler des pelles", a finalement conclu la comédienne.