Paulina Gretzky : La fiancée de Dustin Johnson torride en bimbo du golf

Elle s'était juré de ne jamais fondre pour un joueur de hockey sur glace, discipline qui a fait de son père une star mondiale. Mais Paulina Gretzky s'est mise au(x) golf(eurs) avec une facilité déconcertante : en couple avec Dustin Johnson (30 ans, actuellement 11e mondial) et fiancée depuis l'été dernier, la fille de la légende Wayne Gretzky - alias The Great One - s'incruste même en couverture de Golf Digest (édition fitness "GolfFit", disponible à partir du 8 avril 2014), revue de référence du monde de la petite balle blanche. Evidemment, ce n'est pas son swing que la wannabe-star ascendant bimbo, qui faisait en décembre dernier la couverture de Maxim en bikini, met en avant...

Ce qu'on pressentait est en passe de se réaliser : fascinée par la célébrité au point de sortir très tôt du chemin de l'école pour courir après une gloire facile, l'Américano-Canadienne de 25 ans, pas avare de ses charmes, est en passe de se faire connaître comme... nouvelle WAG (acronyme de "Wives and girlfriends", désignant les compagnes - souvent séduisantes - des sportifs de haut niveau). Si elle s'est enamourée d'un des plus talentueux golfeurs américains, on doute fortement que Paulina Gretzky, qui a déjà échoué à percer dans la chanson, soit devenue en 18 mois une consultante émérite en golf - d'autant que, depuis le début de sa romance avec Dustin Johnson début 2013, c'est surtout en maillot sur les plages d'Hawaï qu'on a vu les amoureux, plutôt que sur les fairways de l'archipel...

D'ailleurs, la physionomie de la couverture de Golf Digest, en dépit de sa manchette solennelle "6 mouvements pour améliorer votre carte avec Pauline Gretzky", ne fleure pas franchement l'authentique leçon de golf : habituée à mettre ses atouts phares en exergue sur le sable fin comme sur les tapis rouges, la demoiselle y pose en soutien-gorge blanc, leggings et baskets, bronzée et cambrée avec arrogance, s'appuyant du bout des doigts sur un club, plus à la manière d'une meneuse de revue que d'une golfeuse professionnelle.

D'ailleurs, le rédacteur en chef de la publication est monté au créneau pour défendre le choix de Golf Digest de mettre en avant cette cover girl sans lien direct avec la pratique du golf : "Des personnalités sportives, des stars et des mannequins ont fait la couverture de Golf Digest depuis la naissance du magazine. Paulina fait partie de la vitrine haut de gamme sur le créneau des stars du golf, et elle a une histoire captivante à raconter. De plus, de nouveaux publics pourraient grâce à elle s'intéresser à notre discipline", a-t-il justifié, tandis que l'éditeur Sam Weinman a pour sa part souligné comment la jeune femme est "devenue un sujet de fascination tout comme celui qu'elle observe" lors des tournois.

Pratiquante assidue du selfie, Paulina Gretzky n'a pas manqué de faire sa propre pub sur les réseaux sociaux à l'occasion de cette parution : "Tellement contente d'être sur la nouvelle couverture de @golfdigestmag!!", a-t-elle écrit en postant une photo de ladite couverture, dont elle a même fait sa photo de profil. Dustin Johnson en a fait autant, partageant sa "grande fierté" sur Twitter. Et ce n'est sans doute qu'un début, puisque la fille de Wayne Gretzky a également tweeté une photo d'elle plantureuse lors de la réalisation d'une pub pour TaylorMade, marque phare de l'univers du golf. "Trop hâte de voir le résultat !", a-t-elle écrit en janvier.

En 2012, Pauline Gretzky avait fait la couverture de Flare, pour la seconde fois après 2005. Elle y déclarait notamment, en pages intérieures : "Quand j'avais 16 ans, je voulais être comme Avril (Lavigne). Et puis j'ai grandi, et j'ai voulu être comme Gwen Stefani. Elle est terrible. Elle a tout. Je veux lancer une ligne de vêtements, elle en a une. Elle est sexy, mais pas trop. C'est parfait. (...) Mon rêve actuellement est d'être dans l'industrie du divertissement. Mon vrai, vrai kif, c'est la musique. Je viens juste de tourner Grown Ups 2, d'Adam Sandler. Mon rôle est tout petit, mais il y a un casting incroyable." L'appel des paillettes...