Entrepreneur, aventurier et même touriste de l'espace, sir Richard Branson ne manque pas d'étiquettes. Une sans doute lui tient plus à coeur, celle de philanthrope. Sa maman Eve Branson, 90 ans et une pêche d'enfer, a une fondation qui officie au Maroc et elle a pu compter sur le soutien de son fiston et son épouse, Joan Templeman-Branson, pour l'accompagner à Marrakech le 25 avril pour la deuxième édition du British Polo Day, une compétition et un gala organisés en faveur de son ONG.
La compétition, présentée par Land Rover, s'est déroulée sous un grand soleil au Jnan Amar Polo Club à Marrakech. Eve Branson, ses trois enfants - Richard, Vanessa Branson et Lindy Brockway - et son petit-fils Jack (fils de Lindy) ont été accueillis par le maître des lieux, Amar Abdelhadi. Cette journée de sport, placée sous le haut patronage de Sa Majesté le roi Mohammed VI du Maroc, a été suivie de près par des personnalités telles que l'ambassadeur du Royaume-Uni au Maroc Clive Alderton, l'ambassadeur des Etats-Unis au Maroc Dwight L. Bush Sr., Fitriani Hay, Oliver Cheshire, Michael Ward, James Demetriades, Minal Bodani, Ron Washid, Tristan Phillimore, Viscount Melville, les frères Jeremy et Tom Jauncey, mais aussi Bernard Montiel et l'artiste plasticien Richard Orlinski.
Le soir même, tout le monde s'est retrouvé convié pour un grand dîner de gala organisé au Dar Soukkar. Ce British Polo Day de Marrakech a permis de récolter la somme de 210 000 euros qui permettra à la Fondation Eve Branson de poursuivre son action au Maroc en favorisant l'accès aux soins et à l'éducation. Dans cette optique, l'artiste et sculpteur Richard Orlinski a offert un Kong rouge aux "ninos" du Polo, l'un de ses célèbres Kongs, gorilles géants de couleur vive. Si vous descendez à Cannes pour le festival, vous pourrez tomber nez à nez avec deux de ces créatures puisqu'elles décorent la terrasse de la suite Sandra and Co au 63 boulevard de la Croisette. Durant toute la quinzaine, Sandra Zeitoun y recevra les stars, comme elle l'a fait avec l'équipe du Grand Journal et le maître de cérémonie Lambert Wilson, la veille de l'ouverture. Samedi 16 mai, Richard Orlinski y tiendra une grande fête.