Sandrine Kiberlain était à la une de Madame Figaro ce vendredi 2 décembre, alors qu'elle était venue faire la promotion du film Le Parfum Vert, dans lequel elle incarne "le rôle d'une dessinatrice de BD à la fois fantaisiste et profonde", écrit le magazine. Un entretien au cours duquel l'actrice de 54 ans a notamment été amenée à parler de sa fille Suzanne, qui s'est déjà lancée dans le cinéma (réalisatrice du film Seize Printemps dans lequel elle s'incarne elle-même, et actrice dans Les Amandiers de Valeria Bruni Tedeschi, ndlr).
"Suzanne, je lui fiche la paix, elle a choisi sa voie. Et j'évite d'en parler, c'est trop intime", a répondu Sandrine Kiberlain, alors que le/la journaliste lui avait demandé si sa fille était, selon elle, "mieux armée pour faire face aux difficultés de ce métier et de la vie en général", grâce à son expérience déjà bien étoffée dans le milieu pour son jeune âge. "Moi, j'ai pleinement confiance en elle et sa génération, a-t-elle poursuivi. C'est vrai que nous avons basculé dans un monde intranquille, terriblement inquiétant, comme si tous les dangers étaient désormais mis en lumière et qu'on ne peut plus les ignorer".
On venait de passer dix ans ensemble
Pour rappel, Suzanne est née le 13 avril 2000, de la relation de sa maman avec l'acteur Vincent Lindon. Ses deux parents sont désormais séparés. Une rupture sur laquelle Sandrine Kiberlain était revenue en janvier dernier dans les colonnes du magazine Psychologies.
"Vincent, c'est la famille. Quand on s'est quittés, je savais qu'on ne se perdrait pas. Mais je ne savais pas comment faire. On venait de passer dix ans ensemble, on avait une petite fille, j'avais la trentaine à peine, je n'en étais pas à ma dixième séparation, alors le chagrin... C'était très dur. J'ai mis du temps à accepter l'idée que ma fille vive avec des parents divorcés, moi qui n'avais pas connu ça. Mais on invente, et on construit", s'était-elle confiée, en toute transparence.