Dans la famille Castaldi, voici l'un des fils ! Rappelons que Benjamin Castaldi est père de quatre enfants. Julien (27 ans) et Simon (23 ans), tous les deux nés de ses amours avec sa première épouse Valérie Sapienza, Enzo (20 ans) qu'il a eu avec Flavie Flament puis enfin le petit Gabriel (3 ans), fruit de sa relation actuelle avec Aurore Aleman. Tous, ou presque, sont connus dans le monde de la télévision. C'est ainsi que Simon Castaldi a participé à plusieurs émissions de télé-réalité. Et cela lui a valu bien des remontrances de sa mère. Interviewé par Sam Zirah sur YouTube, il raconte.
Le jeune homme est, au fil des émissions, entré dans la peau d'un certain personnage. Simon Castaldi est ainsi identifié par beaucoup de téléspectateurs comme le don juan infidèle. Une image qu'il regrette, surtout que sa chère mère ne supporte pas de le voir ainsi. "Moi, depuis 2 ans et demi, ma mère me dit : 'Je ne peux pas te regarder, ce n'est pas mon fils ! Tu n'as pas été élevé comme ça. Ce n'est pas toi !'", confie-t-il, ajoutant qu'il a eu "des engueulades fortes" avec cette dernière. C'est d'ailleurs l'une des raisons qui l'ont poussé à arrêter la télé-réalité. "Ma mère, c'est tout pour moi", assure l'ex-compagnon d'Adixia. Alors s'il faut tirer un trait sur cette carrière par amour pour elle, il le fait sans hésiter.
D'après Simon Castaldi, la télé-réalité grossit les traits. Et c'est ce qui lui a valu d'entrer dans ce rôle, malgré lui. "Si tu es un petit peu nerveux dans la vie, tu vas être un fou furieux. Si tu n'as pas de problème pour te prendre la tête, tu vas te prendre la tête quoi qu'il arrive", remarque-t-il. Aussi, il analyse son propre comportement à l'écran : "Moi, je pense que je me suis perdu et où j'ai vraiment poussé le truc assez loin, c'est à Ibiza où je pense que je n'ai aucun intérêt de faire ça avec Virginie, parce qu'à ce moment-là, avec Adixia, tout allait bien." En bref, il résume en comparant la télé-réalité au célèbre jeu des Sims. "C'est pour ça que j'aime la télé et que je ne cracherais pas dessus. Ça te permet de faire des choses incroyables malgré tout. Même si après, c'est le contre-coup qui est dur", conclut-il.