Sophie Davant était à l'honneur sur TMC, mercredi 18 novembre. La présentatrice de 57 ans était l'invitée de Yann Barthès dans Quotidien afin de parler de la sortie de son nouveau projet S, le magazine de Sophie Davant. Et, en cours d'émission, elle a eu bien du mal à retenir ses larmes au moment d'évoquer sa défunte maman.
Alors qu'elle n'avait que 20 ans, Sophie Davant a dû affronter une terrible épreuve. Celle du décès de sa maman. Bien que les années passent, la douleur ne s'atténue pas pour preuve, elle été très émue quand Yann Barthès l'a interrogé sur le sujet. "Je vais être émue parce que ma mère est décédée un 17 novembre et a été enterrée un 19 novembre. Je crois beaucoup aux signes et ce n'est pas rien que ce magazine sorte là, en ce moment", a-t-elle tout d'abord confié au présentateur après qu'il a dévoilé une tendre photo en noir et blanc de sa maman et elle plus jeune.
Sophie Davant a ensuite expliqué qu'elle l'admirait beaucoup, qu'elle était "magnifique", "grande, blonde aux yeux bleus, pulpeuse". "Rien à avoir avec moi physiquement", a-t-elle précisé. Si elles étaient complices, l'ancienne épouse de Pierre Sled n'a pas caché qu'elles se disputaient pas mal car elle avait une "sacrée personnalité". "Je passais mon temps à poser des questions, donc je l'ai saoulée avec mes questions. Il fallait toujours que je sache le pourquoi du comment. Et j'avais besoin de m'opposer pour me construire. Donc je me suis toujours demandée si nos deux personnalités auraient pu cohabiter à long terme. C'est une réflexion douloureuse et difficile", a-t-elle poursuivi.
Jusqu'au bout, Sophie Davant a été à ses côtés. Elle a regretté que sa maman n'ait pas eu la chance de la voir enceinte et de connaître ses petits enfants Valentine (bientôt 25 ans) et Nicolas (27 ans). Ses enfants, elle en est très proche. Récemment, elle a notamment fait la promotion du nouveau projet de sa fille. Mais elle a reconnu qu'elle était heureuse quand ils ont quitté le cocon familial : "Je les adore, j'adore être avec eux et on a un très bon rapport. Mais je trouve que la cohabitation avec des adultes devient compliquée. J'ai longtemps vécu avec eux et honnêtement, j'habitais plus chez eux qu'ils n'habitaient chez moi. Et à un moment, ça va bien. Ras le bol de retrouver des canapés défoncés, l'appartement sans-dessus dessus, d'avoir des plaintes des voisins parce qu'ils ont fait la fête le samedi soir quand vous n'étiez pas là. A un moment on n'en peut plus." Une franchise qui pourrait bien faire déculpabiliser certains parents.