Stéphane Rousseau se confie : Son fils Axel, sa rupture avec Reem Kherici

Stéphane Rousseau n'est pas peu fier de défendre son nouveau spectacle. Il "brise la glace" sur scène, et l'humoriste québécois se confie aussi en toute sincérité et avec drôlerie, racontant ses états d'âme de papa ou encore sa rupture avec Reem Kherici.

Dans sa première réalisation, Paris à tout prix, Reem Kherici avait le plaisir de diriger Stéphane Rousseau, son compagnon à l'époque. En couple durant quatre ans, ils s'étaient rencontrés sur le tournage de la comédie Fatal, de et avec Michaël Youn. Officiellement séparé d'elle depuis le mois d'octobre de l'actrice, il explique comment se manifestait la différence d'âge entre eux (dix-sept ans d'écart) pour le magazine Voici : "A bien des égards. Au niveau des références culturelles. Tu parles de trucs, et l'autre n'a aucune idée de ce dont tu parles. Idem en déco, moi je suis du genre à mettre une tête de chevreuil mort au-dessus du lit. Madame aime moins. Les femmes n'ont pas le sens du design (rire) !"

Avant Reem, il y a eu la danseuse Maud Saint-Germain avec qui il est resté six ans. C'est avec elle qu'il a eu un fils, Axel, âgé de 5 ans et demi. Il se confie toujours lors du même entretien, sur la paternité : "Ça m'a rendu responsable. Mais mon fils me garde très jeune. Je passe mon temps à jouer à quatre pattes avec lui, à déconner. On met pas mal de désordre et j'ai du mal à ramassser. Alors c'est mon fils qui passe derrière moi pour ranger la maison." Père séparé de la maman d'Axel, il avoue avoir énormément de respect pour les femmes monoparentales : "Moi, je réussis à gérer, mais les femmes font beaucoup plus que ça. (...) Moi, comme n'importe quel mec, c'est un peu plus à la dure. Il part habillé un peu dépareillé, un peu décoiffé. Et j'oublie de le laver de temps en temps."

Au cours de la conversation, on apprend également qu'il s'est fait voler son portefeuille sur les Champs-Elysées à peine arrivé en France et qu'il a un petit faible pour les Françaises : "L'accent me séduit, même si vous pensez que vous n'en avez pas."

Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Voici du 12 décembre