
Lorsque Johnny Hallyday a annoncé être atteint d'un cancer, les fans et les proches de la star du rock étaient loin d'imaginer le pire. Le dénouement tant redouté est arrivé le 5 décembre 2017. C'est par des mots poignants que Laeticia Hallyday, la mère de ses filles Jade et Joy, avait annoncé la disparition de son époux, son pilier, celui qu'elle n'oubliera jamais.
Le 9 décembre, soit quatre jours après la mort de Johnny Hallyday, un hommage national était rendu à l'idole des jeunes dans l'enceinte de l'église de la Madeleine au coeur de Paris. C'est à cette occasion que les enfants du rockeur, à savoir Laura Smet, David Hallyday, Jade et Joy étaient réunis comme rarement. Autre présence notable : celle de Nathalie Baye et Sylvie Vartan, mère des deux aînés.
De l'eau avait coulé sous les ponts depuis leur séparation avec Johnny, raison pour laquelle Sylvie Vartan et Nathalie Baye avaient tenu à être présentes pour saluer une dernière fois la mémoire du chanteur et du père de leurs enfants. Malgré tout, la douleur était palpable et l'épreuve particulièrement difficile. Ce n'est pas Sylvie Vartan qui dira le contraire, elle qui a frôlé le malaise à la sortie de l'église.

Comme l'a fait savoir le compositeurJean-Jacques Debout, mari de Chantal Goya avec qui il fait chambre à part, présent ce triste jour du 9 décembre 2017, Sylvie Vartan n'était pas au meilleur de sa forme. "À la fin de sa messe d'adieu, Sylvie m'a demandé de lui tenir le bras pour sortir de la Madeleine, tant elle craignait de s'évanouir" a-t-il précisé au cours de l'interview accordée à France Dimanche, sorti le 28 juin dernier. Présent pour Sylvie Vartan, Jean-Jacques Debout a aussi dû gérer son propre deuil.

Jean-Jacques Debout et Johnny Hallyday ont forgé une véritable amitié au fil des années. Le mari de Chantal Goya a mis beaucoup de temps avant d'accepter la mort du rockeur. Ce n'est qu'en s'exilant dans l'Indre où il a grandi et où il possède désormais une maison, que Jean-Jacques Debout a réussi à accepter son départ. Le jour J, Jean-Jacques Debout était en proie au désespoir : "À mesure qu'on descendait les marches de l'église, j'ai vu se refermer le livre de notre rencontre, de nos débuts, de notre jeunesse, de belles années. J'ai vu s'écrire le mot fin, ce qui m'a mis un coup terrible, ça m'a démoli."