Tahar Rahim lors du photocall du film Les hommes libres 15 septembre 2011 à Paris© Abaca
La suite après la publicité
La performance de Tahar Rahim dans Un prophète, doublement primée par deux César, du meilleur espoir et du meilleur acteur, résonne encore dans beaucoup de mémoires. Le comédien n'a toutefois pas voulu s'exposer médiatiquement, préférant la discrétion et le travail, aux paillettes et cocktails. Ainsi, il a choisi de participer à un film intimiste rongé par la passion, Love and bruises de Lou Ye.
Le réalisateur chinois a montré sans détour Une jeunesse chinoise, oeuvre qui lui a valu une interdiction de travail durant cinq ans dans son pays. Lou Ye a livré ses Nuits d'ivresse printanière, histoire érotique de "ménage à trois". Le voilà de retour avec Love and Bruises, adaptation du roman autobiographique de Jie Liu Falin, avec dans les rôles principaux Tahar Rahim, Corinne Yam et Jalil Lespert. Passion très physique dans laquelle les corps offrent leur langage, Love and bruises, se veut une vision intense de l'amour.
En interview pour Madame Figaro (édition du 24 septembre), le comédien discret mais habité par ses rôles, se veut modeste, quand on le compare à Robert de Niro : "Je n'ai pas la moitié de son talent." Mais deux César, tout de même... Il n'est cependant pas du genre à admirer ses lauriers : "En rentrant de la cérémonie, j'ai posé mes César derrière un rideau. Aujourd'hui, je me dis que ce sera bien de les regarder les jours où je me sentirais mal."
Courtisé de l'autre côté de l'Atlantique, on a pu le voir dans L'Aigle de la neuvième légion de Kevin MacDonald, mais il ne veut pas d'une carrière hollywoodienne facile : "Je n'ai pas envie de jouer un barbu pourvu d'une femme voilée. Pas envie non plus d'incarner les minets de service français." Quant à sa relation avec Leïla Bekhti, il se veut évasif, ne niant rien, mais ne donnant aucun détail.
Avant de retrouver Tahar Rahim dans Love and Bruises, au cinéma le 2 novembre, il s'affichera le 28 septembre dans Les Hommes libres d'Ismael Ferroukhi, aux côtés du grand Michael Lonsdale. Jalil Lespert montrera lui de nouveau ses talents de réalisateur dans Des vents contraires le 14 décembre.
Le réalisateur chinois a montré sans détour Une jeunesse chinoise, oeuvre qui lui a valu une interdiction de travail durant cinq ans dans son pays. Lou Ye a livré ses Nuits d'ivresse printanière, histoire érotique de "ménage à trois". Le voilà de retour avec Love and Bruises, adaptation du roman autobiographique de Jie Liu Falin, avec dans les rôles principaux Tahar Rahim, Corinne Yam et Jalil Lespert. Passion très physique dans laquelle les corps offrent leur langage, Love and bruises, se veut une vision intense de l'amour.
En interview pour Madame Figaro (édition du 24 septembre), le comédien discret mais habité par ses rôles, se veut modeste, quand on le compare à Robert de Niro : "Je n'ai pas la moitié de son talent." Mais deux César, tout de même... Il n'est cependant pas du genre à admirer ses lauriers : "En rentrant de la cérémonie, j'ai posé mes César derrière un rideau. Aujourd'hui, je me dis que ce sera bien de les regarder les jours où je me sentirais mal."
Courtisé de l'autre côté de l'Atlantique, on a pu le voir dans L'Aigle de la neuvième légion de Kevin MacDonald, mais il ne veut pas d'une carrière hollywoodienne facile : "Je n'ai pas envie de jouer un barbu pourvu d'une femme voilée. Pas envie non plus d'incarner les minets de service français." Quant à sa relation avec Leïla Bekhti, il se veut évasif, ne niant rien, mais ne donnant aucun détail.
Avant de retrouver Tahar Rahim dans Love and Bruises, au cinéma le 2 novembre, il s'affichera le 28 septembre dans Les Hommes libres d'Ismael Ferroukhi, aux côtés du grand Michael Lonsdale. Jalil Lespert montrera lui de nouveau ses talents de réalisateur dans Des vents contraires le 14 décembre.