Tamara Ecclestone ferait bien de choisir avec un peu plus d'attention ses boyfriends à l'avenir... L'héritière britannique est depuis le début de la semaine au tribunal de Southwark Crown où elle est en procès contre l'un de ses anciens compagnons. Dans le même temps, la presse anglaise révélait que la fille de Bernie Ecclestone, grand argentier de la Formule 1, avait été demandée en mariage par son compagnon actuel, qui s'avère avoir un passé un peu douteux...
Chantage et menaces de révélation
Depuis ce lundi 18 février, Tamara Ecclestone est en procès contre l'un de ses ex-petits copains. Celui-ci est accusé avec un complice d'avoir voulu faire chanter la jeune femme à la dépense facile. Derek Rose, aujourd'hui âgé de 33 ans, avait vécu une relation avec Tamara Ecclestone lorsqu'elle avait 17 ans et lui, 21 ans. Il l'a menacée par mail de révéler certains détails croustillants de leur vie intime si elle ne lui versait pas 200 000 livres, soit l'équivalent de 230 000 euros. Pour ce faire, il a prétendu auprès de l'agent de la Britannique qu'un tabloïd lui avait fait une impossible à refuser, moyennant quoi il devait révéler une chose embarrassante concernant la vie de la socialite.
Il proposait donc à l'agent de Tamara Ecclestone de signer une clause de non-divulgation, moyennant la même somme proposée par le tabloïd, expliquant qu'il ne voulait pas blesser son ex et subir l'attention médiatique qui en aurait découlé. Une proposition poliment déclinée par l'intéressée, qui avait bien senti la tentative de chantage, mais qui ne voulait pas pour autant poursuivre en justice Derek Rose, devenu depuis père de famille. Mais ce dernier a alors pris contact avec elle via Twitter, la poussant à porter plainte auprès de la police pour tentative de chantage...
Un fiancé au passif chargé
Mais pour traverser cette épreuve, qu'elle a affrontée ce lundi 18 février dans une tenue estimée à plus de 150 000 euros, accessoires compris, Tamara Ecclestone peut désormais compter sur le soutien de son nouveau fiancé. La jeune héritière, que l'on pensait célibataire depuis sa rupture avec Omar Khyami et l'apparition d'une sex-tape sordide, vit donc une relation passionnée depuis quelques semaines avec un dandy répondant au nom de Jay Rutland, que l'on avait déjà pu apercevoir à ses côtés, même si le regard était davantage attiré par la tenue de la brune, laquelle mettait outrageusement ses formes en avant...
Après une escapade à Dubaï, l'homme aurait donc fait sa demande, à la surprise générale, et serait impatient à l'idée d'épouser sa belle. Une nouvelle qui a poussé les tabloïds britanniques à creuser, comme ils en ont l'habitude, le passé de Jay Rutland. Et celui-ci n'est guère reluisant. En 2002, un journal le présente comme un dealer de drogue après lui avoir acheté de la cocaïne et l'avoir surpris à vendre de petites pochons à une star de la télé, ce qu'il dément formellement, en dépit de l'évidence. Le lendemain, il est licencié... L'histoire aurait pu en rester là, mais l'an dernier, Jay Rutland s'est fait virer de la City, la célèbre place financière londonienne, pour avoir eu un comportement loin d'être "intègre et honnête" en 2007 en faisant des affaires. Cependant, le jeune homme avait échappé aux sanctions grâce à un certificat médical qui excusait en partie son comportement, sans que l'on connaisse la raison exacte de cette clémence.
Pour autant, si l'on en croit l'un de ses proches, Tamara Ecclestone, qui semble être totalement au courant du passé de son futur-mari, ne souhaite qu'une chose : aimer. Chacun a le droit à une seconde chance, quel que soit son passé, voilà l'idée de la jeune femme... Une pensée noble pour celle qui n'en avait pourtant pas laissée à son précédent compagnon. Mais peu importe pour Tamara qui confiait il y a encore quelques jours croire aux contes de fées. "L'argent ne peut pas acheter le grand amour et la santé", confiait-elle ainsi. Avec 2,6 milliards d'euros qu'elle devrait hériter de son papa, on en doute un peu, et les médias se posent quelques questions quant à la réelle motivation de son boyfriend actuel. Time will tell comme disent les Britanniques...