Thomas Dutronc surpris en plein "plaisir solitaire" par sa mère Françoise Hardy, l'un des moments les plus honteux de sa vie

Au début du mois de juin, Thomas Dutronc a perdu sa mère : Françoise Hardy. La chanteuse luttait depuis 2004 contre la maladie : un lymphome devenu un cancer du larynx. Icône yé-yé et figure de la pop française, elle s'est éteinte à l'âge de 80 ans à l'Hôpital Américain de Neuilly-sur-Seine. Aujourd'hui, intéressons-nous à ces souvenirs d'elle que garde son fils. Et notamment de ce moment très gênant lorsqu'il n'était encore qu'un enfant.

En 2015, Thomas Dutronc accordait une interview à Psychologies Magazine, dans laquelle il revenait sur les grands moments de sa construction d'homme. De l'enfance à l'âge adulte, en passant par l'adolescence. Celui qui est à retrouver ce mercredi 31 juillet dès 21h10 sur TF1 dans Belle-Fille abordait alors naturellement sa découverte de la puberté et notamment des "plaisirs solitaires" : "Une grande occupation dès 11 ans".

Seulement, un jour, sa mère le surprend : "J'ai tellement honte ! Elle veut me rassurer : 'C'est normal et très sain, tant que tu ne le fais pas cinq fois par jour'. Je me souviens de m'être d'autant plus inquiété pour ma santé mentale !" Une anecdote qui démontre toutefois une chose. A savoir que Françoise Hardy était une mère très présente et inquiète pour son fils. En témoigne aussi cette période, vers les 6-7 ans du chanteur, où elle lui faisait faire des piqûres tous les quinze jours car il était tout le temps enrhumé.

Cela a duré un an. Et pendant ce temps-là, son père Jacques Dutronc fumait "comme un pompier des cigares toute la journée". Ainsi, cela démontre aussi la différence entre ses deux parents. Enfant, Thomas se sent "pris entre deux éducations" diamétralement opposées : "Par exemple, ma mère et ma grand-mère, une femme très autoritaire, s'échinent à m'inculquer la valeur de l'argent et du travail. Puis mon père débarque et fiche tout ça en l'air en deux coups de cuillère à pot. C'est marrant..."

Mais c'est sans doute cette double-éducation qui lui a permis d'être l'homme et l'artiste équilibré qu'il est aujourd'hui. A savoir à la fois bosseur et blagueur. Un bon mélange !