Tournoi des 6 nations : Paul Boudehent en couple, photo du rugbyman avec sa chérie sous le soleil

C'est le genre de match qui peut faire basculer la carrière d'un joueur. Ce dimanche après-midi 25 février 2024, Paul Boudehent a une très belle opportunité dans ce troisième match du tournoi des Six Nations, face à l'Italie. Après le revers initial des Bleus face à l'Irlande et la victoire étriquée en Écosse, les joueurs de Christophe Galtier reçoivent l'Italie à Lille pour se rassurer après des débuts compliqués. Un match pour lequel la star des Bleus, Grégory Alldritt ne sera malheureusement pas en mesure de tenir sa place puisqu'il s'est blessé lors de la dernière rencontre. Pour le remplacer, le sélectionneur a choisi de titulariser Paul Boudehent, le joueur du Stade rochelais.

Fort de 8 sélections en équipe de France, le jeune rugbyman de 24 ans découvre encore les Bleus et il a une occasion en or de montrer qu'il peut être plus qu'un remplaçant de luxe. Aux côtés de Charles Ollivon et Cyril Baille, le natif d'Angers (Maine-et-Loire) va tenter de prendre le meilleur sur des Italiens qui n'ont pas encore remporté le moindre match dans ce tournoi pour le moment. Pour se faire, Paul Boudehent va pouvoir compter sur le soutien indéfectible de ses proches et notamment sur celui de sa compagne, avec qui il s'est déjà affiché sur son compte Instagram. Plutôt discret sur sa vie privée, le sportif suivi par plus de 20 000 abonnés sur son compte a partagé une série de photos en octobre 2021 sur laquelle on peut le voir en compagnie de sa chérie, Joséphine.

L'occasion de voir que les deux tourtereaux ont l'air très amoureux, même si l'on sait finalement peu de choses sur la jolie brune. Depuis cette publication, Paul Boudehent se fait très discret sur leur histoire, mais les choses ont l'air de bien se passer et Joséphine like régulièrement les publications de son amoureux. En attendant le retour de la star Antoine Dupont, concentré sur les Jeux olympiques avec l'équipe de France de rugby à 7, le Rochelais va tenter de faire ses preuves et montrer qu'il peut devenir un cadre des Bleus. "Je dirai que cette titularisation, c'est une bonne évolution, mais que ce n'est pas une finalité", expliquait-il, plein d'humilité, en conférence de presse il y a quelques jours.