Quand on voit Vanessa Huppenkothen, on en vient à regretter que la Coupe du monde de football n'ait lieu qu'une fois tous les quatre ans et que l'équipe nationale mexicaine ne soit pas régulièrement invitée au Stade de France. Par bonheur, il y a les plages de Miami, si prisées des personnalités de tous bords...
C'est en effet en Floride qu'on a pu apercevoir, le 19 mars 2015, la bombe latine de 29 ans. L'ancienne lauréate de la couronne de Miss Sports à l'élection de Miss Mexique 2007, qui tapa furieusement dans l'oeil de la gent masculine lors du Mondial 2014 au Brésil et intégra aisément le podium des femmes journalistes les plus sexy de la compétition, a laissé tomber sa tenue sportive magenta et ses Adidas le temps d'une baignade, dévoilant son corps sexy dans un petit bikini à pois bien échancré.
Née à Mexico d'un père allemand (d'où son nom aux consonnances pas vraiment ibéro-américaines) ancien joueur de foot (d'où ses prédispositions pour le monde du ballon rond), qu'elle a suivi en Allemagne durant une bonne partie de sa jeunesse, assistant aux matchs de la Bundesliga, Vanessa Huppenkothen s'était orientée vers des études supérieures en relations internationales, au Mexique. Elle ambitionnait une carrière dans la diplomatie, mais le virus du ballon rond était vraiment trop fort : tellement, que le sujet de son mémoire de master portait sur... la FIFA, l'instance mondiale du football.
Le hasard ayant parfois tendance à bien faire les choses, elle décrocha en 2008, peu après ses débuts dans le mannequinat et son succès en reine de beauté, un poste de journaliste sportive sur une chaîne télé spécialisée, Televisa Deportes. JO 2008, Coupe du monde 2010... Elle était lancée. Depuis, son physique avantageux, apparu dans des séries mexicaines et en couvertures de magazines, lui a valu une certaine renommée, internationale, chez les adeptes du sport... et des femmes qui aiment le sport.