"Il carbure à..." : Gabriel Attal "gendre idéal" ? Derrière l'image, deux addictions dévoilées...

À 34 ans, Gabriel Attal est devenu ce mardi 9 janvier le plus jeune Premier ministre de l'histoire de la Ve République. Un choix du président Emmanuel Macron dont ce dernier lui a fait part au cours d'un petit-déjeuner secret. L'ancien ministre de l'Éducation nationale a pris officiellement la place d'Elisabeth Borne à l'issue d'une passation de pouvoir sur le perron de l'hôtel de Matignon en début d'après-midi. Soutenu par son ex Stéphane Séjourné, le plus jeune Premier ministre sait qu'il va avoir de quoi faire, lui qui doit créer son gouvernement. Mais, il a toute la confiance du chef de l'État qui croit en son "énergie" et son "engagement".

Un parcours éclair donc pour le politique mais aussi une "image de gendre idéal" qui lui colle à la peau. Et pourtant, Le Figaro, dans son édition de ce mercredi janvier, révèle à quoi carbure le Premier ministre français. Des habitudes pas très saines. En effet, comme Elisabeth Borne avant lui, Gabriel Attal a une bien fâcheuse manie : la vapote. Nos confrères du Figaro expliquent que le déjà grisonnant Premier ministre est un "jeune homme anxieux, qui carbure au Coca Zéro et à la cigarette électronique". Et "ne ratant aucune ligne de ce qui est raconté sur lui".

Plus d'une fois, Elisabeth Borne a été vue succombant à son addiction, vapotant dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Jusqu'ici, Gabriel Attal, lui, a été plutôt discret. Mais le stress risque de monter dans les semaines à venir, et il se pourrait bien que l'on aperçoive le Premier ministre français sortir sa cigarette électronique de temps à autre. Et si Elisabeth Borne sa prédécesseuse affichait une ligne athlétique cela ne l'empêchait pas d'être aussi accro au Coca Light, révélait Paris Match. Le gendre idéal Attal, lui, a opté pour le Coca Zéro.

Deux addictions pour cet "anxieux" qui poursuit son ascension fulgurante. En étant nommé à Matignon, il a pulvérisé de trois ans le record de précocité détenu jusqu'ici par Laurent Fabius.