Le résultat ne laisse place à aucun débat. Ce dimanche 2 avril, les Parisiens étaient appelés à se positionner pour ou contre le maintien des trottinettes en libre-service dans la capitale. Et c'est à 90%, selon les chiffres communiqués par la mairie, qu'ils ont voté contre. Après l'annonce des résultats, la maire Anne Hidalgo a pris la parole pour annoncer la fin des contrats avec les firmes privées (Lime, Tier et Dott) à compter du 31 août prochain.
La nouvelle fait naturellement le tour des médias depuis dimanche soir et, ce lundi matin dans L'Heure des Pros, Pascal Praud en a fait un sujet. Contrairement à l'avis général, l'un de ses chroniqueurs, Jacques Séguéla, ne s'est pas réjouit de l'interdiction des trottinettes, qu'il estimait être un moyen de transport pratique pour les moins aisés. "Les trottinettes sont les scooters des jeunes qui ne peuvent pas se payer un scooter, c'est pour ça qu'on les pénalise. Ce qui est lamentable, c'est qu'on ne les a pas suffisamment mobilisés (les jeunes, ndlr) et ceux qui ont voté, ils ont voté pour", a-t-il estimé.
Une remarque qui n'a pas plu à Pascal Praud, lequel a partagé une confidence personnelle pour faire entendre son point de vue. "Pardonnez-moi Jacques, ce n'est pas que ces jeunes ne peuvent pas se payer un scooter, moi je suis père de quatre filles et quand elles étaient jeunes, elles m'ont demandé un scooter mais jamais ! Dans Paris ! Je leur ai dit, 'jamais vous n'aurez de scooter'. Parce que c'est dangereux, point", a-t-il raconté, catégorique.
Ce n'est pas la première fois que le compagnon de Catherine évoque ses Morgane, Tiphaine, Faustine et Lou-Elise, nées d'une précédente relation à l'antenne. En 2021 par exemple, le journaliste reconnaissait être intransigeant autour de leur éducation, comme sur le sujet des écrans. Il révélait en effet à l'époque qu'il ne leur en avait tout bonnement pas autorisé l'accès. "Mais enfin, ce n'est quand même pas extravagant ! Et croyez-moi l'autorité, ça file, ça file !"