"Je vais devoir me reprendre" : Thomas Dutronc admet avoir pris du poids et révèle pourquoi

Plateaux télé, radios...Tout le monde s'arrache Thomas Dutronc en ce moment, lui qui vient de sortir un nouvel album intitulé Il n'est jamais trop tard. Mais ce qu'il regrette, c'est de voir que certains de nos confrères ne prennent même pas le temps d'écouter son nouveau projet, se focalisant seulement sur le décès de sa célèbre mère Françoise Hardy, qui nous a quittés cet été. "J'ai parfois l'impression de me répéter, au point de me dire qu'une conférence de presse à l'américaine aurait fait l'affaire !", vient-il d'admettre à Gala, dans une interview à retrouver dans leur édition du jour ce jeudi 26 septembre.

Une phrase qu'il a toutefois prononcée avec légèreté, en riant, car, lorsqu'il a confiance en son interlocuteur, il n'hésite pas à aborder de lui-même ces sujets. C'est d'ailleurs ce qu'il vient de se passer lors de cet entretien, lorsqu'on lui a demandé si cet exercice de la promotion l'aidait à se lâcher davantage. Ce à quoi l'artiste de 51 ans a répondu : "Oui. Même si j'aurais préféré que maman l'écoute, me donne son avis sur les interviews que je donne. Son regard me manque. Malgré son extrême objectivité, sur mes cheveux mal coiffés ou des kilos pris, parfois. Ma tenue a toujours été sa grande affaire ! Je sais que j'ai pris pas mal de poids ces derniers mois. La nourriture a été un refuge (suite au décès de sa mère donc, ndlr). Je vais devoir me reprendre. C'est toujours embêtant pour un artiste de se trouver moche en photo !"

En ce qui concerne plus précisément son deuil, il a ajouté ceci : "Ce qui m'arrive, d'autres gens le vivent. La plus grande tragédie, c'est le deuil d'un enfant. Le mien est dans l'ordre des choses. J'éprouve bien sûr une grande tristesse. Ce sont des moments de ma petite enfance qui me reviennent. Ma maman m'a aimé plus que tout. Elle me l'a dit. Je le sais." Malgré sa peine, Thomas Dutronc continue donc à aller de l'avant, avec la sortie de ce nouvel album.

Un projet maîtrisé de bout en bout (que ce soit l'écriture ou l'utilisation de sa voix), et là-aussi, cela concerne Françoise Hardy : "J'ai sans doute hérité du perfectionnisme de ma mère. j'ai pris soin de raboter ces nouvelles chansons. Je suis mon plus sévère critique. J'ai le soucis de toujours m'améliorer, progresser. On a travaillé sur le mixage et le mastering de certains titres jusqu'à fin juillet." Une exigence remarquable !